Venue d’un passé indéterminé, avec un parfum de banquet, elle a accompagné mon allégresse et calmé ma petite douleur, alors que je me hâtais pour gommer le temps perdu à me changer et rechanger, mais tant voulais abréger notre salut que je l’ai scalpée, marchant aussi vite que je le pouvais sans courir pour prendre un dessert et un café avec une petite famille aussi charmante qu’estimable,amicalement, joyeusement sage,et une micro-princesse qui m’a regardée de ses grands yeux, et acceptée avec grâce

Et nous avons secoué le bien-être de la cour, pour libérer les garçons et déambuler un peu en parlant, regardant, nous arrêtant par plaisir, en un petit circuit à travers des endroits que j’aime, pas trop loin, du beau bois veiné et des sculptures de la porte de Saint-Pierre et le charme de ses places, aux boutiques de la rue des Fourbisseurs, aux macarons de l’hôtel de Crillon et blessures de son vis-à-vis, aux arbres dessinant leurs ombres sur Saint Didier, et à sa belle nef,

passants souriants parmi les passants dans un joli printemps, et j’étais bienheureuse, mais je ne peux plus traiter mes photos (par contre je récupère des adresses de blogs ou de sites, et des textes)