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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, juillet 05, 2008

Avignon, moi, nous, nous entrons lentement dans le festival
Place de l’horloge les deux premiers croqueurs se sont installés, en attendant la rangée qui devrait venir, puisqu’il semble que la municipalité les juge tolérables, ou mieux (j’espère que la maréchaussée sera moins omniprésente que l’année dernière ou à tout le moins sans augmentation) - perplexité, comme à Beaubourg, devant l’abnégation de ceux qui acceptent de partir en serrant sur leur cœur cette vision de leur visage
Lorenzo a investi de nouveau le hall de la mairie, et je trouve sa bonne femme séduisante
La boutique du in est installée. Impression que l’achat de billets, ou l’acquisition de ti-shits (pas laids d’ailleurs) ou de carnets s’opposent presque, et que les corps, la présence des festivaliers, comme cette tente, font partie d’un décor pour touristes de passage (et je n’ai pas de complexe pour photographier les rassemblements ou publics, certaine que je pars fixée sur des pellicules pour des destinations plus ou moins étranges)
Le marché aux livres du cours Jean Jaurès est ouvert depuis plusieurs jours et le « marché » des allées de l’Oulle s’installait le 4. Pour tester mes jambes suis allée y faire un tour, découverte sans suite (mais c’est vaguement sympathique)

sauf peut-être quand le café du off sera ouvert (quoique je préfère les spectacles, si j’en ai la force; ou parades).
Il commence le 9 ou le 10. Les troupes arrivent et les premières affiches (présence très très modérée encore), et dans la ruelle devant le Funambule des chinois s’activaient avec des planches et des perceuses

Pour le « in », premier spectacle ce soir (le 4, billet préparé en fin de journée), que je ne verrai pas. Regret modéré parce que j’avoue (horreur) que j’ai peu de goût pour Claudel, même le « partage » - regret tout de même parce que j’ai de beaux souvenirs de Valérie Dréville et de Sivadier et Nicolas Bouchaud (sans compter les deux autres) et que j’aimerais entendre ce que son chant fait dYsé. Voir aussi ce que donne cette mise en scène collégiale. Mais la carrière n’est pas pour moi (pour les trajets et la certitude de ne pouvoir la quitter en cours de spectacle si carcasse veut)
Voilà, voilà
Ah si ! - les travaux de réfection du mur de soubassement rue des Teinturiers, interdisant la circulation sur une cinquantaine de mètres, sont programmés en juillet

9 commentaires:

micheline a dit…

Et que le festival soit!

DUSZKA a dit…

Toujours autant de plaisir à te lire. Un peu silencieuse à cause de problèmes d'ordinateur. Avec ma minuscule retraite je ne peux pas faire grand chose sinon réduire la voile, donc fermeture de MSN donc de mon blog ! A cause aussi de problèmes de santé, d'échographies en analyses de sang et bientôt deux scanners pour essayer de mettre un nom sur la douleur du flanc droit qui ne me lâche plus.
Mais je garde le web et mon courriel, c'est déjà bien. La ville où tu vis doit être transformée : est-ce facile à vivre pour les habitants "habituels" ? Fatigant sans doute, mais combien riche. A bientôt te relire comme chaque jour. Bises.

tanette a dit…

Beaucoup d'animation dans ta ville. J'aime la bonne femme dans le hall de la mairie, quelle grâce !

Anonyme a dit…

J'aime bien cette forme de reportage sur le début du festival.
Les travaux de la rue des Teinturiers sont commencés depuis quelques temps déjà.
Je ne connaissais pas bénévolente et j'ai eu du mal à trouver de l'empathie !

Anonyme a dit…

La ville en émoi!
Bon festival et quelques découvertes en prime.

Brigetoun a dit…

oui le cadre coupe chaque fois le nuage - ça m'agace mais je ne sais comment faire
premier jour avec des projets et donc carcasse en déroute - ménage et s'alonger pour la fin de matinée parce que zut ! une expo et l"inferno qui me tentent et plus

Anonyme a dit…

Quand le beau côtoie l'horreur !

Anonyme a dit…

Effectivement, "Inferno" est bien tentant au vu des quelques extraits télévisés.

Anonyme a dit…

on a tous les jours envie de venir à Avignon, festival ou pas, avec une guide comme toi !

Oliv'