en ce jeudi, journée blanche, nous étions, moi et ma machine, totalement fius.
Elle chauffait et moulinait, et après l'avoir tapotée pour la consoler je l'abandonnais un temps, pour la retrouver aussi lente et rétive la sacrée....
Et je flottais à la surface ou un peu en dessous du monde dit réel, assez pour rester un moment en contemplation devant eux
tombée dans un trou, une indécision un peu hébétée sur ce que l'on appelle la date, même si l'air qui glissait sur les bouts de peau hors de mon manteau n'évoquait pas la profondeur de l'hiver.
4 commentaires:
Mangeons des légumes, il en restera toujours quelque chose.
Un peu de diète et ton ordi ira mieux demain.
Les serres ? tu ne peux te passer de visiter les maisons de la culture.
de temps en temps il faut laisser reposer la machine mais depuis ce matin je ne vois aucun travail supplémentaire!
alors demain un petit coin de ciel bleu??
et ici des cieux cléments pour aller chercher des pommes, s'il en reste
eh oui, nos légumes seront des légumes de serres ou venant de pays lointain...
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