une lumière matinale froide
les arbres qui s'éveillaient sur mon chemin
le jardin de Sainte Claire décoré par les élèves de la section Arts Appliqués du lycée Frédéric Mistral, pour les 8ème rencontres euroméditéranéennes de Vollubilis.
après un café chaud et assez clair, la première journée (une vingtaine d'assistants non professionnels sur un peu plus de deux cents inscrits)
"le changement climatique et son impact sur les écosystèmes terrestres" Bernard Seguin - directeur de recherche à l'INRA
"le changement climatique ; les paysages du passé, une clé du futur ?" Jacques Louis de Beaulieu de l'Institut Méditerranéen d'Écologie et de Paléoécologie
"nouveaux comportements" Jean Viard Sociologue
"changement climatique et santé" Jean-Pierre Beancenot - climatologue Directeur de recherche au CNRS
"l'approche envirpnnementale de l'architecture bioclimatique : un moyen de repenser la ville et le bâtiment" Frédéric Nicolas architecte DPLG
"l'anticipation des changements climatiques dans les choix du projet environnemental du Grand Lyon" Frédéric Ségur - service des arbres urbain de la communauté d'agglomération du Grand Lyon
"l'effet d'îlot de chaleur urbain :causes et remèdes dans la perspective du changement climatique" Jean-Louis Izard - Directeur de recherches - architecture bio-climatique
"Genius Loci, les référent vernaculaires de protection solaire de Calabre réinterprétés dans un projet contemporain à Reggio" Vincenzo Gioffré architecte-payagiste
"le changement climatique et son impact sur les écosystèmes terrestres" Bernard Seguin - directeur de recherche à l'INRA
"le changement climatique ; les paysages du passé, une clé du futur ?" Jacques Louis de Beaulieu de l'Institut Méditerranéen d'Écologie et de Paléoécologie
"nouveaux comportements" Jean Viard Sociologue
"changement climatique et santé" Jean-Pierre Beancenot - climatologue Directeur de recherche au CNRS
"l'approche envirpnnementale de l'architecture bioclimatique : un moyen de repenser la ville et le bâtiment" Frédéric Nicolas architecte DPLG
"l'anticipation des changements climatiques dans les choix du projet environnemental du Grand Lyon" Frédéric Ségur - service des arbres urbain de la communauté d'agglomération du Grand Lyon
"l'effet d'îlot de chaleur urbain :causes et remèdes dans la perspective du changement climatique" Jean-Louis Izard - Directeur de recherches - architecture bio-climatique
"Genius Loci, les référent vernaculaires de protection solaire de Calabre réinterprétés dans un projet contemporain à Reggio" Vincenzo Gioffré architecte-payagiste
et, sur ce bel exposé, en supprimant le dernier Brigetoun (bobo) a demandé un taxi et s'en est allé voter
échanges amicaux et décontractés (mais oui) et pu avoir le dernier bus pour rentrer, s'asseoir un quart d'heure et repartir au théâtre, pour un programme bien composé qui flattait enfin mon goût pour la fin du classicisme, mais moins celui des avignonnais, et dommage pour l'OLRAP la salle était loin d'être pleine (juste un peu plus que pour la musique de chambre).J'ai l'impression qu'il y a déjà eu des départs, spécialement dans les violons
Finalement assez contente de l'économie qui m'envoie cette année au 3ème balcon. En me déplaçant pour surplomber la scène, je goûte pleinement la musique presque comme quand à la Cité de la musique j'abandonnais mon superbe et confortable fauteuil à l'orchestre pour m'installer au promenoir, face au chef.
Finalement assez contente de l'économie qui m'envoie cette année au 3ème balcon. En me déplaçant pour surplomber la scène, je goûte pleinement la musique presque comme quand à la Cité de la musique j'abandonnais mon superbe et confortable fauteuil à l'orchestre pour m'installer au promenoir, face au chef.
un chef invité : Rumon Gamba dont la gestuelle m'agaçait au début.
En ouverture le prélude à l'après-midi d'un faune de Debussy, avec la joliesse grave de la flûte (Odile Bruckert), et les vagues d'oû sourt la lumière
Trouvé sur le programme le quatrain de remerciement de Mallarmé
"Sylvain d'haleine premier,/ si la flûte a réussi,/ ouïs toute la lumière,/ qu'y soufflera Debussy" - bon ça sent un peu l'occasion, mais j'aime bien.
Et puis le concerto pour orchestre en la majeur K622 de Mozart avec François Slusznis, clarinette solo de l'orchestre. Premières mesures peut être un peu aplaties (sans doute idiot, ce que j'ai senti), les différents plans se mettant en place à partir de l'intervention du soliste.
Les ritournelles et les reprises cordes-vents de l'allegro - le dialogue tendu de l'adagio, le chant, et l'allégresse finale. Un plaisir.
En ouverture le prélude à l'après-midi d'un faune de Debussy, avec la joliesse grave de la flûte (Odile Bruckert), et les vagues d'oû sourt la lumière
Trouvé sur le programme le quatrain de remerciement de Mallarmé
"Sylvain d'haleine premier,/ si la flûte a réussi,/ ouïs toute la lumière,/ qu'y soufflera Debussy" - bon ça sent un peu l'occasion, mais j'aime bien.
Et puis le concerto pour orchestre en la majeur K622 de Mozart avec François Slusznis, clarinette solo de l'orchestre. Premières mesures peut être un peu aplaties (sans doute idiot, ce que j'ai senti), les différents plans se mettant en place à partir de l'intervention du soliste.
Les ritournelles et les reprises cordes-vents de l'allegro - le dialogue tendu de l'adagio, le chant, et l'allégresse finale. Un plaisir.
après l'entracte les deux gymnopédies de Satie orchestrées par Debussy, raffinement; simplicité et l'omniprésence du hautbois de Frédérique Costantini, pour mon plus grand plaisir.
Et enfin, pour la première fois depuis que je suis avignonnaise, Haydn, avec la symphonie n°93 en ré majeur, le tonnerre du début, et puis le chant. La richesse et la superbe énergie de l'adagio.
Le dialogue des cordes en danse lente au début du deuxième mouvement etc.... avec les petites touches d'humour du Monsieur.
Rentré en ayant encore mal, mais le coeur en fête (plein de sourires au long de ma journée).
J'espère être à la hauteur du jour qui s'ouvre, avec le même programme (sauf le concert) - et serai toujours absente des blogs.
Et enfin, pour la première fois depuis que je suis avignonnaise, Haydn, avec la symphonie n°93 en ré majeur, le tonnerre du début, et puis le chant. La richesse et la superbe énergie de l'adagio.
Le dialogue des cordes en danse lente au début du deuxième mouvement etc.... avec les petites touches d'humour du Monsieur.
Rentré en ayant encore mal, mais le coeur en fête (plein de sourires au long de ma journée).
J'espère être à la hauteur du jour qui s'ouvre, avec le même programme (sauf le concert) - et serai toujours absente des blogs.
6 commentaires:
deuxième et dernier tour Aubry d'un bel effort ?
Je n'ai pas assisté au forum de Volubilis, mais toi, quelle journée !
Entre photos (superbes), écologie, opéra, sans oublier le café, tu n'arrêtes pas et c'est tant mien !
Beau week-end !
RDV dans une dizaine de jours...
OLIVIER
outre l'excellent jeu de mot de Gérard (très bon, je le ressortirai ce soir), beaucoup apprécié ce billet, et ces photos.
Désolé pour l'OLRAP aussi, et pour toi qui t'est beaucoup investie.
Bonne fin de semaine
Quelle journée, pas une petite pause! Laisse ton ordi se reposer, cela ne lui fera pas de mal. C'est ce que j'ai fait de toute la journée.
AUBRY AU 2E TOUR !!!
J'espère.
Coucou brige.
Un jour sans toi, c'est un jour sans culture.
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