"J’ai confié l’exécution de mon œuvre poétique à Baudelaire, Laforgue et Saint-John Perse, puis je me suis déchargé de mon travail romanesque sur Stevenson, Musil et Nabokov ; il faut savoir déléguer et d’ailleurs, très honnêtement, je le dis sans aucune coquetterie, je n’aurais pas fait beaucoup mieux si j’avais moi-même abattu la besogne."
premier élément du tercet 424 de l'autofictif d'Eric Chevillard http://l-autofictif.over-blog.com/
Comme je n'ai ni oeuvre poétique, ni oeuvre romanesque, lui ai délégué, à lui, la rédaction de "paumée", et je crois, sans coquetterie, que je n'aurais pas fait réellement mieux, et suis allée épiloguer avec mon amie boumiane sur l'avenir, sans résultat évident.
9 commentaires:
et comment confier à quelqu'un mon oeuvre besogneuse?
un peu de vent sur l'air du temps..
Boumian! Boumiane Sais-tu que nous ne sommes pas loin pour nommer ainsi les gitans ???
Déléguer ................serais-ce possible en toute modestie??
que de ?????en ce matin frisquet
BON jOUR AA
Merci pour ta visite et G Richier
Pour ma part, j'aime beaucoup les tâches ménagères confiée à ce vaniteux de paon.
Délicieux et plein d'humour ce paragraphe ...je n'aurais pas fait mieux !
Que de bonnes références!
J'aime la figurine, je pense que, souvent, nous sommes toutes (les nanas au moins) cette femme aux pieds-nus, le singe aux épaules, le tambourin à la main qui regarde en l'air sans qu'on sache trop quoi elle fixe des yeux.
:-)
Très beau santon de Provence !
Brig, j'ai rien compris à "l'autofictif" et ce que tu lui as confié...
Je viens avant tout te souhaiter un beau Noël !!!
Je t'embrasse,
OLIVIER
Drolatique figurine !
un santon - moi comme je me voulais enfant : boumiane (enfin j'aurais dit gitane)-
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