un oeil qui tente de s'ouvrir un peu plus tôt que d'habitude, et la découverte du zoom mais pas forcément de son réglage - suivie du départ en oubliant de recharger la batterie

une maison dans un jardin hivernal et dans la cordialité de cette maison beaucoup de petites têtes (et de noms à retrouver) avec de surcroît de jeunes adultes, des adultes affirmés, des adultes avancés et des truffes - et des grippes

un prologue assez peu audible sur la place principale pour permettre l'arrivée des villageois, dont une avignonnaise, des semi parisiens, etc.... et la montée à la collégiale

une pastorale (regret : celle d'Audiard), de très jolies intentions, un avenir de rodage au cours de beaucoup de futures années et un vin chaud et des bonbons

à travers la seule vitre subsistante et sale de l'abri sur le quai 2 de Pierrelatte, la contemplation du quai suivant pendant les vingt minutes de retard du train me ramenant vers la rue Joseph Vernet en Avignon, et le dernier soupir de la batterie
somme toute une joyeuse journée.

Oh !et puis comme j'en ai lu plusieures, à la suite de celle faite par François Bon http://www.tierslivre.net/spip/spip.php?article1571 et de celle de la dame des "lignes de fuite" http://blog.lignesdefuite.fr/post/2008/12/27/moi-aussi-je-fais-ma-compil et d'autres (dont une fort belle sur Facebook) le résultat bien modeste de la compilation (faite vendredi soir) de mes statuts Facebook, en partant des plus anciens
- Brigitte prend son élan pour le festival avec la ville
- vient de recevoir les voeux solitaires (13 juillet) de TF1 qu'elle n'a quasiment jamais regardé sauf à l'hôpital - juge que ce n'est pas réellement encourageant,en sourit
- entre hébétude, impuissance, spectacles et tentatives d'en rendre compte sur Paumée
- renonce et se rendort
- regarde la vie
- sort une valise et se prépare pour un dép
- voit qu'elle se trompait de jour pour son départ vers famille et mondanités toulonnaises - prise de vertige devant cette liberté va faire la sieste
- malade à l'idée de ce long voyage de deux heures en fin de journée
- rentrée dans sa fournaise essaie d'improviser un lamento pour les plantes mortes, tragiquement faux
- cherche à comprendre ce qui fait qu'un texte lui plait ou mieux
- stagne
- n'ira pas embrasser Kouchner
- bobo
- presqu'au sec - a peur que cela recommence
- récuse NS comme maître à penser, et historien
- a signé la motion "un monde d'avance" - cherche à réintégrer sa section
- n'arrive plus à lire en ce moment - va voir si la musique améliore les choses
- surnage
- rien, en s'appliquant à trouver cela agréable, ou pas
- voit l'hiver l'engloutir
-se prépare à être assesseur dans une section dont elle est virtuellement partie pour la motion C
- doit manquer de lucidité mais est en rogne contre un sénateur et un député
- navrée par leDavos de la culture et de l'économie dans une ville qui risque de perdre son orchestre et désolée de l'absence d'accord entre C et D à Reims
- voudrait que l'on parle plus de Benoit Hamon que du "duel des dames" sur les belles radios du service public
- part écouter un récital de piano en espérant que les socialistes ne se battent pas trop pour faire part de leur joie ou de son contraire
- va tenter de contraindre carcasse à une journée presqu'active et se résigner à contribuer ce soir à la survie d'un PS avec ses défauts contre Valls et Co
- plongée dans Voltaire
- a froid
- a honte d'avoir pesté contre un peu d'eau envahissante
- en plus de 66 ans, ne s'est pas résignée à ce qu'est la vie
- se demande si elle doit lester ses poches, le vent semble engourdi, ne feûle plus
- attend le 3 ou 4 janvier
- hait chaque année un peu plus cette date (25 décembre)
- s'invente des histoires vaguement drôles
et, rajouté samedi soir :
- se redilate à la chaleur