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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, mai 30, 2009

pas très belles vous êtes,
mais vous êtes,
comme une oasis
sur le chemin d'une tracteuse,
errant de très fermés halls,
en simples fentes pour petit immeuble,
en absence énigmatique.
Sans ma prudence
je vous aurais embrassées.
prosaïsme
et derrière la société, telle que nous la vivons, en ses différentes façons de se clore, et le lien réservé aux préposés qui ont la clé - le quartier de la Balance et ses groupes d'immeubles barricadés, les traboules que l'on ne peut plus que rarement parcourir dans le vieux Lyon et les codes des immeubles parisiens (mon sous code pour les immeubles que je gérais), les appartements de mon enfance toulonaise avec les simples becs de cane sur les portes d'entrée. et les maisons de campagne qu"il suffit de contourner pour entrer par la cuisine.

7 commentaires:

joye a dit…

Bzzzzzzzzzzzzzt !

micheline a dit…

la sécurité ma chère de mourir sans promiscuité avec la vie encore réfugiée dans mon quartier!

JEA a dit…

Maison à la campagne : la porte unique (ni verrous, ni cadenas) n'empêche pas les parfums de cuisine d'éclore vers les prairies prenant un premier bain au soleil hésitant.

Michel Benoit a dit…

Je ne les trouve jamais assez grandes les boîtes-aux-lettres...

Sylvaine Vaucher a dit…

Le poème est plus voluptueux que les empreintes ADN qu'un baiser pourrait laisser...

Gérard a dit…

Une boite qui peut parler, d'humour , d'amour..au pied de la lettre.

pierre a dit…

Des codes, plein la tête ou des bouts de papier comme autrefois les clés, dans les tiroirs, mis à part qu'il est inutile de collectionner les premiers au contraires des autres.