Je vous prie de m’excuser, car le soleil a emporté ma raison, et j'ai brulé mes yeux sur des images.
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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération
jeudi, juin 25, 2009
Je vous prie de m’excuser, car le soleil a emporté ma raison, et j'ai brulé mes yeux sur des images.
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10 commentaires:
Très jolis mots, brige, brûle tes yeux autant que tu veux, le résultat est éblouissant ! Of course!
je ne sais vraiment pas où me situer parmi ces délires de faces possibles.
et si c'était encore autre chose??
A vous lire, Brel revient en mémoire :
- "Les fenêtres souvent
Se ferment en riant
Se ferment en criant
Quand on y va chanter
Ah, je n'ose pas penser
Qu'elles servent à voiler
Plus qu'à laisser entrer
La lumière de l'été."
Brigetoun, tes mots pour ces façades aux formes humaines sont d'une beauté magnifique : subtils, doux, rudes, francs ou tendres selon les visages qui les habitent.
Je n'aurais jamais vu les choses comme ça et pourtant j'entre avec toi dans ta vision des murs, c'est magique.
grâces te soient rendues
Les murs parlent
à défaut
t'inspirent
et dans la pierre brute
Michel-Ange déjà éprouvait le geste et le mouvement.
et l'histoire de nos murs n'ont encore pas livré tous leurs secrets. Je me plais à photographier ces têtes qui ornent les maisons bourgeoises et à essayer d'imaginer qui pouvaient y vivre...
Ce visage lisse et lardé de mémoire, un écueil sous le soleil qui se cueillerait devant un cercueil !
sans doute de là l'expression , se faire refaire la façade ?
Il serait doux en effet de trouver un tel visage derrière ces fenêtres, qui sait ? Comme Nathalie j'aime tes mots, j'ai du mal le plus souvent à leur imposer les miens, mille excuses.
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