commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juin 30, 2009

Pas une maison, et rien pour accrocher un rêve, sauf cette végétation coincée entre deux museaux.
D'ailleurs à trop marcher les yeux en l'air, je risque les vertiges, et le retour à un univers qui pourrait être mien. comme cette rencontre tremblée de lundi matin.

7 commentaires:

Michel Benoit a dit…

Les détails sont souvent passionnants !

micheline a dit…

plutôt chétive cette végétation qui se hausse dans un espace restreint,clandestine au coin d'une fenêtre au volet fermé?
-la chaleur?
et-ou- volonté de survivre ,
malgré l'outrage du temps?

JEA a dit…

Selon la photo : végétation de terrasse avec parasol brun foncé entre fenêtres aveugles. Mais végétation attirée par le vide.

Gérard a dit…

Tu peux baisser les yeux ..mais à la campagne c'est mieux

pierre a dit…

Les détails, n'est-ce pas ce qui prévaut dans l'existence ?

Brigetoun a dit…

il vaut mieux tout de même s'abstenir d'une trop grande attraction

joye a dit…

Waaaaaaaaaaouh, on dirait des bunkers en Normandie sur la première. Sans blague !