
page 46 - Proférations sur l'état du monde et de soi-même - Habakuk http://www.publie.net/tnc/spip.php?article242
pas très en forme morale et physique et sans désir de po-si-ti-ver.
Mais c'était Brigetoun en version lundi et mardi matin et puis
Et quand le choc de la mort de Pina Bausch, brusquement, m'y a trouvée, j'ai frémi un peu, et puis cessé d'écouter les hommages, l'ai rangée, navrée, au cimetière intérieur des admirés, importants, ai pensé qu'elle avait vécu pleinement, entièrement et tenacement, et laissait une oeuvre, (et ces temps ci, ceux qui vont pondre des pages sur elle annonçaient périodiquement leur déception relative), une exigence, un esprit, des élèves.
7 commentaires:
chère Brigitte, j'aime cette organisation de l'esprit selon la métaphore de la forêt.Très beau texte.
Moi, j'atteint cela en faisant l'art abstrait ou sur les méditations du ciel ou....
Il n'est pas toujours impossible que celles et ceux qui dorment, soient bercés par les rêves que nous leur offrons.
Puisse le sommeil définitif de Pina Bausch être aussi accompagné de la petite musique de nuit de votre admiration.
Tu m'apprends cette disparition.
Un cimetière, hélas, qui ne cesse de se remplir...je me plais à penser à la fête qui dois se faire dans l'au-delà (on dit qu'au bout du tunnel, il y a des gens qui vous attendent!)
La mort Pina Bausch , entendu sur les ondes, disparue d'un cancer en cinq !
Condoléances, brige.
belle journée chère Brigetoun, déesse des mots.
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