samedi matin, la mer venant à nous à La Ciotat.
quiétude d'un petit jardin mourillonnais la mairie de Toulon, ses mariages dont un encombrant, et le port, les mariés obéissant à Monsieur de Cuverville.
retour vers le Mourillon pour courte pause
et jusque tard dans la nuit, un fort commandant la rade depuis Louis XIV, investi par des gens joyeux
le fond de la rade et le Mourillon se noyaient dans une brume et, quand le soir est descendu, ma batterie (force photos qui ne figureront pas ici) a rendu l'âme pendant que Toulon, le Mourillon, en face de nous, s'allumaient et clignotaient.
dimanche, matin, fleurs et parfums sur le marché du Mourillon,
et les rues qui dégringolent vers les plages. déjeuner sur le pouce au fort, rythmé par des départs et des recompositions de voiture forme extraordinaire, joie, et dimanche soir en bataillant avec les photos, sommeil, migraine, écoeurement, tremblements - dodo et maintenant billetterie festival
9 commentaires:
Frustration; je n'ai pas vu les mariés ou de si loin!!!ni la jolie capeline fleurie dans le décor.
mais le Morillon..sa brume et ses odeurs..
les mariés et autres ne m'appartiennent pas - je n'ai pas les photos des inombrables autres photographes et de leurs belles machines, un peu peur de ce que donneront les appareils qui se sont glissés sous la capeline masque
Magnifiques paysages : merci
Superbe, Brigitte et ne résiste pas à déposer ce petit mot! Toulon, mais c'est déjà un peu Venise. Quelle fête! Tous mes coeux aux jeunes mariés. Bises à toi pour cette grande forme. A bientôt.
Loin, si loin de Toulon... A Liège, leur assiette posée sur un canon, aurait porté des boulets au lapin ...
Merci pour les photos, j'ai l'impression d'y avoir assisté et ça sans l'embarras de ne connaître personne dans la compagnie ! Merci beaucoup brige !
Au détour du port ou du Mourillon , je n'ai pu aperçevoir une silhouette au grand châpeau , pourtant rôdant dans "mes terres"
on voit même ma maison au loin !!!
amusant de se lire presque !! pas si bien d'ailleurs , c'est tj difficile de parler de "soi" Merci de faire d'une plume si particulière pour un évènement familier
Arlette
ce furent mes terres (surtout le Mourillon et la Mitre)d'une partie de l'enfance et de l'adolescence, quittées vers seize ans en révolte de jeunesse pénible (pour tous et surtout les autres), et c'est le lieu où l'on me présente d'anciens amis oubliés et souvent charmants - et c'est une des plus belles rades qui soient selon mon vieux marin de père
Un retour chez toi, timide au milieu de mes maux. Je ne te promets pas de tout lire ce que j'ai pu manquer mais je ferai un effort, en fonction de ma forme
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