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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

jeudi, avril 08, 2010


Messire, vous en prions, parlez nous,
que la colère ne vous étouffe,
ce ne sont que sottes et petites gens,

Votre dignité en fait parure,
expulsez rage et puis oubliez.
Messire, vous en prions, parlez-nous.

Ce sont stupides gars qui ne savent
comment dire leur désastreux ennui.
Sont perdus, sottes et petites gens.

Monseigneur, le pouvoir vous expose,
Sachez le, dédaignez en les effets.
Messire, nous vous en prions, calmez vous.

A nous revient de dire navrance,
de nous lamenter et de protester.
Messire, vous en prions, oubliez,
ce ne sont que sottes et petites gens.

9 commentaires:

Michel Benoit a dit…

Mais comment oublier
Ils occupent ma tête
Au réveil le matin
Jusques au soir encore
En cherchant le sommeil

micheline a dit…

le roi est fou! vive le roi!

jeandler a dit…

Comme pour les "Rois" de Notre-dame, ils l'ont pris pour le Pape...

DUSZKA a dit…

Pitié pour notre roi du show bizz, il est si malheureux...

Brigetoun a dit…

à vrai dire il m'indiffère tant que je n'avais pas pensé à lui, je réagissais à la récente invasion des grafs sur les trompe-l'oeil, parce que : partout mes enfants, mais pas là !

JEA a dit…

les artistes offrant des trompe-l'oeil appartiennent aux bienfaiteurs de l'humanité...
quand des grafs s'en mêlent, ça devient casseurs de rêves

Jeanne a dit…

"casseurs de rêves".. triste sort fait à ce sire..

(je rêve d'un(e) amateur qui gommerait tous ces grafs de la photo pour nous révèler l'original - magie du numérique..)

Gérard Méry a dit…

Le Roi se confesse (ce n'est pas un gros mot)

Nathalie H.D. a dit…

Je l'ai vu comme toi Brigetoun, ce navrant assaut sur une de nos charmantes fenêtres peintes aux couleurs du théatre.

Trop exposé, ce roi à hauteur d'homme - proie facile pour les imbéciles.

Ce ne sont que sottes et petites gens, oui, mais il est pénible qu'ils prennnent autant de place.

Dans mon quartier, l'assaut des graffiteurs n'a jamais été aussi violent; j'en souffre vraiment.