salut ! Comment ça va ?
Ça va, ça va – Qu'est ce que tu fais aujourd'hui
T'as vu le temps ?
Ça change quelque chose ? Tu avais l'intention d'aller courir ? Tu m'étonnes là..
Euh … Mauricette tu me redonnes un rosé ?
Bonjour Mauricette, pour moi un café, et serré hein !
Parce que toi tu aurais fait quelque chose s'il avait fait beau ?
Pas vraiment, non – tu sais bien...
oui je sais – tu es un feignant, et il s'en vante en plus !
C'est ce qui nous différencie
Sacré Jean va ! Hé ! Jacques tu nous prépares des oursins ? Trois pour chacun
Depuis l'étal :
ok, mais buvez pas trop vite,... j'ai des clients là... je vous les ouvre tout de suite après – ils sont parfaits vous verrez
J'espère bien
16 commentaires:
C'est comme si j'y étais ! j'entends le bruit des verres de Mauricette et le bon Jacques avec ses doigts tout gros et rouges de froid qui s'affairent entre les huitres et les oursins.
me fait penser au Droit à la Paresse!!!
mais des piquants d'oursins tout noirs et une belle rondeur dorée de citrouille
Des oursins, des huîtres... avec du Picpoul de Pinet...
Et pour ce soir
une part de potiron
pour la soupe
n'oublie pas !
vaut mieux pas - serait très petit pour un potiron, c'est une coloquinte et ça ne se mange pas - mais les oursins étaient sublimes, rarement trouvé d'aussi pleins
Michel Audiard n'a plus qu'à aller voir Dieu pour se plaindre !! Bises.
Un menu, pour un nord-américain, qui sort de l'ordinaire. Un menu, pour un amoureux de l'Europe, qui fait envie.
ah oui, je viens aussi, mais trois c'est un peu juste ! :)
ha ! ha ! brèves de comptoirs..on dirait du Jean-Marie Gourio !
oh, pour un apéritif ça devrait aller, non ? - et ils étaient bien pleins
Je vis sur une autre planète...mais c'est sympa de pouvoir visiter la tienne.
Pas de trève de comptoir...
J'imagine que les oursins vont devenir rares...
Comme les ours sains.
Hé Vé ! Escartefigue j'avais deviné
Une coloquinte ?
Une citrouille, chez moi!
je te l'envoie et tu essais de la manger ? hum je serais responsable
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