Paumée et Brigetoun boudent un peu –
sous ciel à ignorer,
ont franchi le rempart, au moins en pensée, traversé la route et la prairie enclose de macadam,
sont assis dans l'herbe pauvre et regardent couler le fleuve, en douce morosité, s'interrogent mollement sur le sens de la vie, ce qui montre leur degré actuel de stupidité, et leur avenir.
7 commentaires:
N'est point venue faire un tour à la fête de la Tour St-Jean, épargnée par la météo !
j'ignorais
oui chère Brigitte si on analyse trop on arrive a rien,
tout ce qu'on possède c'est le plaisir du moment
A Boulbon, aussi...écouter le soir et Claude Favre, la musique, les chats et Joyce...
Regarder couler le fleuve est très philosophique (on ne se baigne jamais deux fois dedans au même endroit) ; cela aide à se ressourcer.
Il est bon de prendre un recul pour mieux sauter ;-) Bonne réflexion.
demain sera un autre jour !
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