lumière glisse
lumière ricoche au sol
jeune ventelet
tiédeur mais tant
voudrais défaillir
j'avance en besoin de
brûlure
lumière sur murs
caresse et montre les
plaies
les pierres chantent
tendre soleil sur
les enduits comme ma peau
yeux qui se ferment
vacances aux halles
trous creusés dans les
saveurs
et rares clients
des livraisons pour on ne
sait où
se faufiler, chercher son
chemin
une exposition
sans intérêt en mairie
mais une annonce
et pas très envie de
nourrir Paumée, à l'heure du thé somnolent
7 commentaires:
Les rues désertées.
Une âme en peine.
merci à toi
Festival blues, toujours ceux qui restent qui...
retourner à la jouissance des rougets et des petites olives noires
pas de petites olives pour moi.. juste l'huile
et le bon poissonnier est en vacance
bon restent d'autres plaisirs
Mais poésie des photographies (la lumière t'y aide...)
elle fait tout le boulot
Vraiment magnifique la lumière dans les (dans ces) photos.
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