Comme j'avais trouvé dans la nuit le rappel d'une réunion (sans très bien savoir si ma présence pourrait-être un tant soit peu utile) avec l'annonce du changement de lieu et la précision que pour une pré-réunion ceux qui pourraient amener quelques chose seraient gentils de le faire, j'avais décidé d'avancer mon passage aux halles prévu dimanche.
Trouvé ce que je pouvais
sans trop dégarnir les étals, en combinant une boulangère et un
charcutier en espérant que ce serait dans la note désirée....
complété par poisson,
patates, huile, morue, bleu de Causses pour moi
et m'en suis revenue en
saluant la patinoire endormie.
Ménage en force, sieste,
ce cher André Chassaigne présentant la motion de censure, etc...
ai interrompu Mélenchon pour partir, sous petite
pluie fine, dans le début de nuit, pleine de curiosité, avec mon
petit sac de victuailles en espérant qu'elles trouveraient preneurs,
vers l'hospitalier petit théâtre de l'Isle,
Rencontré gens
discrètement merveilleux (les victuailles ont trouvé preneurs) et
mesuré, en écoutant pendant un peu plus de trois heures et demie,
do,nt deux heures et demie d'échanges organisés et précis,
l'immensité de ce à quoi s'engagent les familles
hébergeantes-accompagnantes de mineurs isolés (surtout avant que
cette fichue ASE du département entérinent la chose), les
tâtonnements, l'entraide mutuelle, en filigrane ce qui fonctionne
bien et les mauvaises volontés et actions bénéfiques de
l'administration quand on y arrive... et du peu que je peux.
8 commentaires:
Pas de chou fractal ?
pas de chou fractal
belle sculpture murale
Le rocher noyau de la ville...
Motion de censure vouée au rejet : un jeu assez dérisoire...
Mais soulagement à Strasbourg, après la "neutralisation" (ils aiment bien ces euphémismes) du tueur, en attendant hélas d'autres attentats possibles...
Belle action humanitaire de votre part ! :-)
oh moi non Dominique... juste plaisir de côtoyer-écouter de bien belles personnes (dont un gilet jaune arrivé en retard)
Plaisirs partagés alors...et courage en plus devant la froidure et la nuit
Arlette, mais petite honte ce matin, suis frissonnante devant mon ordinateur au lieu de crapahuter vers un atelier-pancarte hors les murs pour le jour des migrants, sous prétexte d'un rendez-vous piapia avec une auteur de l'atelier d'été de François Bon
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