Matin ai vivement, je veux
dire un peu au hasard la chance, posé là où pouvaient les
personnages de ma petite foule... et tenté sans y réussir de les
photographier pour qu'ils saluent les passants sur paumée (certains
se sont cachés, d'autres ont préféré le flou) tout en ruminant
deux mails reçus en fin d'après-midi la veille demandant à ceux
qui pouvaient d'amener quelques bidules qui manquaient pour le dîner prévu
ce soir de Noël dont quelques éléments des treize desserts et si
possible des petits cadeaux pour les enfants des familles qui
s'installaient sans préciser le nombre, les âges, le sexe, ne
voulant faire faute mais me demandant où trouver temps et puis
aussi, faut bien l'avouer, chevance... me reprochant immédiatement
mon égoïsme etc... réaction banale.
M'en suis allée, un peu après midi, en grande lumière, avec un
petit pot d'épices (demandées) qui me sont tentation interdite dans ma cuisine,
J'ai trouvé trois jouets (qui se sont révélés bien trop bébés pour les garçonnets astucieux, vifs et souriants dont j'ai fait furtivement la connaissance plus tard… serviront à d'autres), des oignons, des oranges, des noisettes épluchées, de la pate de coing, des amandes (les halles étaient ouvertes toute la journée ce lundi, leur jour de fermeture habituelle) deux paquets de petits nougats, quelques calissons d'une chaine de confiserie et deux fougasses industrielles bien blafardes et molles
et m'en suis allée, bien marrie, vers le local, où j'ai pu pénétrer par la porte officielle maintenant ouverte après une petite attente devant la grille, que je secouais énergiquement,
J'ai trouvé trois jouets (qui se sont révélés bien trop bébés pour les garçonnets astucieux, vifs et souriants dont j'ai fait furtivement la connaissance plus tard… serviront à d'autres), des oignons, des oranges, des noisettes épluchées, de la pate de coing, des amandes (les halles étaient ouvertes toute la journée ce lundi, leur jour de fermeture habituelle) deux paquets de petits nougats, quelques calissons d'une chaine de confiserie et deux fougasses industrielles bien blafardes et molles
et m'en suis allée, bien marrie, vers le local, où j'ai pu pénétrer par la porte officielle maintenant ouverte après une petite attente devant la grille, que je secouais énergiquement,
Amusement de voir sous cet
aspect ce qui est, depuis des années, un théâtre en juillet, voué
aux écoles de théâtre et à la comedia del arte.
Mes photos sont vides,
mais il y avait pas mal de monde qui vaquait à des tâches diverses,
des décideurs qui faisaient des plans, une merveilleuse chef de
cuisine, un menuisier, des monteurs de réveils etc... deux mères
qui organisaient leur logement (de grandes pièces claires et
impeccables). Brigetoun a erré un peu, fait connaissance, et puis a
été vouée à la pluche de carottes, d'une énorme courge – en
procédant à rebours de mon habitude, bien plus longuement et
maladroitement que d'ordinaire – au tri de tomates données en bout
de vie... a blablaté, etc... et comme finalement pour ce qui restait
à faire il y avait des jeunes femmes bien plus aptes que moi et que
d'autres devaient arriver, suis repartie bien plus tôt que prévu,
avec assez de sous pour m'offrir un café à une terrasse, une rose
et un petit pot de cyclamen et puis suis rentrée lire, en luttant
contre une somnolence incongrue, et bricoler de quoi marquer la
fête...
7 commentaires:
des 24 décembre, je vous en programme encore 15, joyeux noël à vous cher brigetoun
Bonne fête, Brigitte!
casabotha, c"'est gentil mais je préfèrerais que non
Claudine, ah oui !
Raymonde, merci
à vous aussi
Merci pour vos santons et votre belle générosité, beau noël à vous chère Brigitte 🎄
merci et merci pour votre billet
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