fin d'après
midi
s'en aller
tournicotant
en petites
rues
ramener images et guère
de mots, juste ceux qui disent que Parasite de
Joon-ho Bong est, oui, jubilatoire et terrible, que sans appuyer il
fait sentir (oui, entre autres, il y a l'odeur, mais aussi la façon
de montrer sans dire), il fait toucher la distance – et la
proximité désirée ou non – des extrêmes de la société (juste
un peu plus marquée qu'elle ne le serait aussi) – que les images
sont somptueuses, les gens terrifiants et attachants etc... le rire
franc et l'horreur passagère puisque symptôme ou résultat (et le
déroulement de l'histoire délicieusement énorme)
et
puis revenir dans un petit vent bien froid
12 commentaires:
encore une fois le commentaire de casabotha maladroitement supprimé (je promets que c'est vrai)
"vous êtes délicieusement infatigable chère brigetoun ! "
et ma réponse : oh que non !
C'st rare que vous parliez de cinéma : il est vrai qu'une salle de ciné se dit, en américain, "theater"...
Mais les rues sont bien mises en scène ! :-)
Joli souffle
Dominique, c'est très rare que j'aille au cinéma maintenant qu'ils ne sont plus permanents et qu'il faut repérer à l'avance, y aller autrement qu'en décidant au dernier moment quitte à prendre le film en route et attendre dans une file
Un torrent d'images bien tendres préféré à la pluie torrentielle.
Le thème sous-jacent de la lutte des classes a dû titiller votre désir de cinéma.
Curieuse dernière image ...sortie d'un film assurement🤔 c'est moi Arlette en anonyme ne peux commenter avec ma tablette ..desolee tu me reconnaitras
Pierre, avions eu deux passages de pluie lente dans la matinée et la température a fait une brusque chute
Godart là la lutte des classes est féroce
Arlette, zoom de nuit de mon petit appareil qui tient dans la main plus ma marche cahoteuse sur la calade, ça donne ça (sourire)
jolis raccourcis de pierre
des raccourcis qui allongent (c'est le but) ou comment mettre un quart d'heure pour parcourir cent cinquante mètres
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