La conversation
d'une assemblée de pigeons
descend dans ma cour
le ciel ouvre un peu les yeux
les dalles essaient le sec
La lumière a fait quelques passages plus ou moins insistants... me suis trompée en ouvrant une enveloppe et j'en étais malade, même si je n'ai rien lu, simplement vu - j'espère que la destinataire ne me jugera pas... avais projets, ai contemplé leur évaporation... ai continué à suivre Hugo en 1849 et écouté à travers force craquements les députés des différents départements et territoires d'outre-mer faire le point sur la situation sanitaire chez eux, et comme il n'était pas question que je me frotte aux mots, ai fait écho à ma lecture cette nuit de textes et poèmes de Mahmoud Darwich en en lisant un fragment.
12 commentaires:
J'aime à ce point le timbre de votre voix que vous pourriez m'insulter que j'écouterais jusqu'au bout.
ce timbre de voix (merci pour lui) que nous avions, semblable, ma mère et les trois ainées ... l-mon pauvre père ne savait jamais qui lui parlait !
Le ciel ouvre un peu les yeux et les vôtres sont grands ouverts sur le monde. Merci pour cela.
sont pas bien jeunes et parfois rouges mais le tentent pour me maintenir
Les pages se tournent plus vite que les jours... (heureusement qu'il nous en reste des nombres non mesurables)... :-)
les savoir toujours no mesurables, bonne façon de les aimer
Étrangement graves..lesmots ce jour définitif de deuil du dernier au revoir
Quel texte ! sans voix, après la vôtre.
Arlette, de tout coeur avec vous deux
Claudine, Darwich est une lecture hautement recommandable
OOOOh ! Merci ! Darwich quelle force ... merci.
en ait fait mes entrées de nuit... mais ce recueil fini.. bon ai des textes éparpillés
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