et vent variable à fort
Par la place quasi déserte et les rues modérément animées, petite vieille s'en est allée dans la lumière légèrement fouettée,
attendre, plus brièvement que d'habitude, juste le temps de parler un peu avec un couple attendant et de lire les 34 pages des Mystères de Coat-er-Urlo reprenant un feuilleton de1923, une histoire d'homme invisible, agréablement écrite, prestement menée, et reprenant pour le confort du lecteur, comme presque tous les textes de science fiction publiés par Archéos (publie.net https://www.publie.net/livre/les-mysteres-de-coat-er-urlo/) tous les poncifs de rigueur pour rendre familiers et acceptables l'étrangeté qu'ils veulent évoquer.. attendre donc dans la salle d'attente de petit toubib qui veille en ces temps à éviter les longues cohabitations, et qu'à ma grande satisfaction j'ai trouvé en relativement bonne forme
et puis m'en suis revenue vers l'antre, le thé, une intervention d'André Gunthert faisant débarquer dans le festival d'histoire de l'art de Fontainebleau, avec un apparente incongruité mais une belle pertinence la visibilité et invisibilité des gilets jaunes http://imagesociale.fr/8654
6 commentaires:
Si le "petit toubib" est en forme, c'est une bonne nouvelle !
Et le ciel azur est un médicament à effet prolongé... ;-)
mais le ciel bleu avec vent : vais éternuer dans mon masque aujourd'hui !
J'aime bien le sourire bienveillant au-dessus de "la petite vieille"
un sourire dans une peau un peu attaquée
J'aime tout particulièrement les deux premières photos : l'invitation nonchalante qui m'est faite par la grille à pénétrer dans un camaïeu de verts, et la douceur de cette terrasse piquetée de parasols entravés.
cette grille donne sur une charmante cour-jardin et assez nombreux sont ceux qui s'arrêtent, et puis voient le menu (à défaut du prix des chambres) du restaurant et partent avec respect (sourire)
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