Fin d'après midi
l'air sur la peau s'attiédit
le bleu prend force
avant la pâleur du soir ;
une brise se lève.
Et je pense à tous ces mentons qui ne seront plus soutenus ; et mes rides saluent les fatigues, les boursouflures des mascarons en leur disant à demain !
Une petite folie joyeuse dans les cours de Rosmerta, on parle travail, on remet à plus tard et c'est très bien.
4 commentaires:
Pourquoi tous ces mascarons n'ont-ils pas été masquarés ?
Ils ont peut-être craché leurs virus ou leur mauvaise humeur aux passants désormais à égalité ?
La comédie va pouvoir commencer ! :-)
oh elle n'a jamais cessé... va-t-elle être moins grinçante ? on verra
penser à relire Aristophane
zut... l'ai plus (livre si usé qu'a péri) sourire
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