Images du soir, puisque n'étais pas sortie avant, occupée, outre les tâches nécessaires, à tenter de mettre des mots de façon pas trop nulle (mais qui ne me satisfaisait pas et d'une lourdeur un rien affligeante) sur la nuit avant les voyages pour l'atelier de François Bon.
et départ vers dix-huit heures dans un froid que conjurais en me répétant « froid de gueux mais pas glacial » derrière le masque que j'avais pêché dans ma poche où il dormait en cas de besoin, vers Rosmerta, le plaisir de retrouvailles, et un peu plus de deux heures de réunion, dense et ordonnée, pour mettre au point nouvelle organisation pour l'accueil quand il y a place, le recueil des premiers renseignements, et le plus souvent la remise sur la route, avec quelques conseils et le plus de chance possible, des quatre, cinq ou davantage mineurs frappant à la porte chaque semaine (tenter d'éviter qu'ils n'aient d'autre ressource que l'errance de département en département).
8 commentaires:
La chaleur de la convivialité vous accompagnait au retour.
Godart c'est ce que j'ai pensé (et puis avais emmagasiné chaleur autre, on crevait de chaud dans la pièce)
oui, moi aussi en lisant vos mots ai pensé à la chaleur humaine qui donne chaud.
Maria, vraisemblable et là elle était forte (sourire)
Votre première photo, que je retweete, fait penser à une figure humaine, accueillante dans le froid de la nuit... :-)
joli Dominique et pas faux 'bin les yeux sont redoublés) - en fait c'était la façade du premier théâtre avignonnais, ce qui va bien avec l'idée d'accueil souriant
La nuit glaciale rend chaque lumière accueillante comme dans les contes quand le voyageur est perdu et se dirige vers elle
rire : et les économies et la pénurie les raréfient
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