Comme le matin, après avoir vaqué, j'avais retrouvé la farmacia de la via Banchi di Sopra, après des dizaines d'années | souvenir vague mais vivant d'un dialogue épique avec un grand brun aimable pour trouver comment soulager petit problème oublié avant de suivre la rue, de dépasser l'église anglaise, le Monte del Pasci avec les palais de la piazza Salimbeni et de continuer jusqu'à sortir du quartier réservé aux piétons mais sans retrouver, à la frontière, le petit hôtel proche de San Domenico qui semble bien avoir disparu depuis des dizaines d'années, comme en sortant vers quatre heures avec une envie, venue de je ne sais où d'aller faire un tour au Musée Pierre de Luxembourg mais que le bleu qu'avais cru voir du coin de l'oeil dans la matinée s'était enfui, ai décidé d'aller au Petit Palais retrouver mes chers Siennois...
En montant la rue Vieille Poste, avant même de déboucher sur la place du Palais, j'ai réalisé que nous étions mardi et que, contrairement à la vierge en ivoire, à la vierge couronnée d'Enguerrand Quarton et à leurs compagnons, les siennois ni leur nombreux entourage ne recevaient pas en ce jour.
8 commentaires:
merci pour le retour de la lumière
fragile, Caroline, fragile, rien n'est garanti pour la suite
Rendez-vous manqué...mais si présente à l'esprit et so doux sourire
oui ils et elles ne sont pas loin (mais suis oublieuse)-
Le hasard peint bien les choses... :-)
ici tout est blanc et la neige tombe... une autre lumière ;-)
Dominique, est ce le hasard ou le résultat de forces auxquelles pouvons peu de chose ? (c''st vrai qu'en gros le hasard c'est cela : des forces...)
Maria si vous détestez autant la neige que moi(une fois passée la surprise de sa beauté) je vous plains
Enregistrer un commentaire