Marche presque aisée
en regardant les arbres
le friselis vert
les appels nus des branches
ou leurs ombres caresses
sans réaliser l'accumulation des petites choses posées dans couffin, et un retour avec dix stations où la main blanchie soulageait le dos gueulant, pendant qu'en riais...
un obstacle au milieu de l'escalier mais l'arrivée de jeunes bras pour hisser facilement ma petite charge – la vie est belle.
...lecture, chercher et commencer petites histoires pour l'atelier mais les ai abandonnées pour me passionner pour la polémique autour de l'évacuation en attente de la Soufrière en 1076, avec ce satané Allègre étant tombée par hasard sur le podcast d'une longue émission de FC https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-nuits-de-france-culture/carnets-d-un-voyage-aux-antilles-12-12-20-jours-de-la-vie-d-un-volcan-1ere-diffusion-09-10-1976-8044475 (et puis le bruit du monde et le sentiment de laisser tomber tout et tous)... ceci dit m'interroge, même si l'idée d'un déménagement nécessaire s'éloigne, sur la sagesse qui voudrait que je ferme pauvre Paumée.
6 commentaires:
Queneau aurait pu écrire : "Arbres, mes amis"... ;-)
Oh Dominique merci pou votre passage
le bleu du ciel
et le friselis vert
m'enchantent
paumée n'est point pauvre
heureusement que la nature nos donne encore petites joies
Ombres et lumière dans le ciel comme dans les cœurs .."ainsi va la vie Madame"
oui Madame, avons eu le temps de l'apprendre amie, cueillons les lumières
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