Combat contre cour, pour un score un peu baroque cour 0;5, Brigitte 1,5 mais pas tout à fait... et passablement sur le flanc la Brigitte qui en profite pour réduire son programme. En reste à la suite de la visite des expositions de la Collection Lambert, me bornant à poser ici, en ribambelle, uniquement quelques images d'une partie des œuvres exposées dans le cadre de « la peinture est morte, vive la peinture » dont deux étaient une découverte pour moi et beaucoup étaient d'heureuses retrouvailles (avec le regret qu'il n'y ait que deux ou trois œuvres de certains artistes, même s'il y en avait plus que je n'en montre)
en commençant par, juste avant de sortir de la grande salle de l'aile, en haut du plan incliné en bois, Christian Combaz,
Entrant dans les salles du bâtiment principal donnant sur le boulevard Raspail, « al buio sul mare » d'Enzo Cucchi
et Barcelo avec une bibliothèque et « le peintre brûlant un papier devant le feu »
un Anselm Kiefer « Die Rheintöchte » (dans la même salle la très haute fleur que j'aime tant)
un premier Jean-Charles Blais (il y en aura un autre plus loin)
une photo d'une série de Louis Jammes représentant Brion Hysin et William Burroughs (il figure aussi un peu plus loin avec la photo que je n'ai pas gardée de Jean-Michel Basquiat collier de fer au cou)
une de celle que je découvrais Julian Schnabel avec "Flaubert's letter to his mother" en forte pâte.
l'autre et très grand Jean-Charles Blais
La salle qui ouvre par une arcade sur le vestibule, le grand salon au milieu de la façade est vouée à Jean-Michel Basquiat avec dans l'axe le formidable « Asbestos » accompagné des sabots de prisonnier et d'un autre grand tableau « She Installs Confidence and Picks His Brain Like a Salad » et de la photo de Louis Jammes
dans les dernières salles : l'autre œuvre que ne connaissais pas, faisant partie d'une série de 3, "Sterilized Surface Glass"
la douceur d'Edda Renouf faisant jouer la couleur et les fibres
comme un écho dans la salle suivante Robert Ryman et les grands ou petits tableaux quasi invisibles, blancs toujours ou presque et vivants, résultat de recherches techniques qui me laissent pantoise...
la rigueur imaginative de Brice Marden
l'étonnement que j'ai toujours d'aimer Robert Mangold...
Et puis, sortant de Caumont, sur le palier de la charnière entre les deux hôtels, face à la librairie et à côté de l'escalier des salles crées au sous-sol, que je descendrai demain ou après-demain une construction de carton merveilleusement travaillé d'un type qui nuous devient familier cette année même si n'irai sans doute que dans le creux de l'hiver au Palais des Papes, avec Eva Jospin.
Pour ce soir, honte à moi, avais décidé, et y pensais vraiment avec plaisir, de m'en aller le long du Rhône vers la Scierie pour regarder la vidéo-compte-rendu du travail d'un metteur en scène avec des jeunes de Rosmerta volontaires et puis étais percluse et lâche, je mets ceci sur Paumée et j'en reste là (vous évite le 6bis de l'atelier).
4 commentaires:
Chaque image demande réflexion et fait remonter des souvenirs entre autre Jean Charles Blais rencontré à Martigues
Blais, tellement présent durant mes études d'arts appliqués, merci d'avoir réactivé ce souvenir
Quelle belle collection, vraiment... comme il doit être bon et interessant de voir tout cela en vrai, en chair et en os ... :-)... merci
Arlette et Carolin merci pour votre passage et OUI à Blais
Maria ce n'est qu'une petite partie de l'infime partie exposée en ce moment
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