Sur ce qui devient mon trajet habituel pour aller à Rosmerta l'actuel
marcher bien au chaud
deux chandails et un caban
dans la lumière
deux élèves, le tout jeune A et l'alphabet (qu'il connaît presque bien ce soir... il a eu un temps deux « institutrices » e,t il en était tout heureux) et B pour son premier devoir, où n'ai eu presqu'à lui apprendre la bonne compréhension des questions pour qu'il élabore ensuite la réponse. Mais comme j'ai découvert que le jeune guinéen de quinze ans est en fait hébergé chez un ancien (solution trouvée parfois pour éviter de remettre sur la route quelques uns des nouveaux arrivants) à Saint Chamand d'où il vient à pied, je dois | la barbe arriver lundi avec un cahier d'exercice, si j'ai le temps d'en trouver un nouveau, à quinze heures... un rien bousculée, pour lui éviter de marcher dans la nuit.
Et retour à grand pas pour ne pas laisser le froid faire du mal à mon petit cerveau qui avait oublié son béret sur une table de classe, par l'autre itinéraire possible dans un Avignon nettement plus animé qu'à 'aller. Passionnant ?
6 commentaires:
Nouveau cheminement, le rythme de la pensée doit s’adapter à cet autre parcours.
@ brigetoun : la photo 6, c'est une borne kilométrique ? Bon dimanche ! :-)
(message perso à "Godart" : votre adresse e-mail est rejetée. Merci de me contacter sur la mienne, qui figure sur mon blog, tout en haut dans la rubrique "À propos")
Godart la pense se doit d'être souple... carcasse a plkus du mal à s'adapter à nouvel horaire
Dominique, non une des riues de la rue des Teinturiers derrière le parapet
Changer les habitudes nous maintient jeunes :-)
même quand on ne l'a pas choisi... juste un peu moins commode, pensais que ce serait impossible finalement non
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