La pierre dure
qu’est ce ciel face au soleil
Lumière chaude
Et dans le péristyle bas de l’hôtel de ville, sur des portants métalliques, en hommage au Printemps des Poètes, les photos de neige et de désert hivernal de Sergeui Dezotti-Ruiz « Dans une courte série photographique en noir et blanc, avec une tonalité minimaliste, je décris en m’inspirant d’un poète et ami Jean-Bernard Hugues, la beauté, la pureté et la dimension surnaturelle des paysages enneigés. La blancheur immaculée de l’hiver, devient la toile d’un tableau aux prémices de sa réalisation. Tout peut arriver, c’est la fin d’un cycle et le début de l’autre… Le temps est en suspend, figé, en parenthèse… »
Avec la petite chanson intérieure de ces jours qui pointent, radieux ou humides, hors de la parenthèse, pour faire croire à mes jambes qu’elles étaient dignes du renouveau, ai grimpé les deux hautes volées de marches vers le péristyle haut et cueilli quelques unes des images des élèves de l’école élémentaire de la Courtine illustrant le thème de « la grâce », en coloriant et complétant des silhouettes ou par des collages, le flamenco.
8 commentaires:
tout ça est bien bon et beau - merci à vous
merci
Flammes and co… :-)
Dominique, esprit endormi moi ! ai mis quarante secondes ou plus à comprendre en revoyant les dernières images...
Minimalisme de l’hiver avant la profusion végétale du printemps.
Oh !
Que tout cela est beau
le bleu et le haïku en ouverture
les vers et le noir et le BLANC qui suivent
et la grâce des dessins d'enfants
oui, TOUT cela est très BEAU
la profusion végétale commence grâce aux jardiniers de la ville Godart
merci à vous Maria (doublement pour le nouveau commentaire sur le précédent billet, sourire)
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