Comme un désir
que tout cède la place
à l’insouciance.
sans que pèsent éventuellement les fins de mois (sourire).
Entre tri, un long et trop bref repassage maladroit et une bagarre avec un commentaire sur un blog qui se refuse, se saisir d’un livre/pliage des Editions derrière la salle de bains, et recopier la troisième strophe de la traduction par Laurent Margantin d’un poème de Friedrich Hölderlin
…Mais maintenant, il fait jour ! J’ai espéré et l’ai vu advenir,
Et ce que j’ai vu, le sacré, qu’il anime ma parole.
Car la nature elle-même, qui est plus vieille que les temps
Et vit au-dessus des dieux de l’Occident et de l’Orient,
La nature s’éveille maintenant dans le fracas des armes,
Et du haut de l’Ether jusqu’au fond de l’abîme;
Comme jadis, engendré à partir du Chaos sacré selon des lois rigides,
L’enthousiasme se sent renaître,
Lui qui crée tout à nouveau.
4 commentaires:
Se rassasier des yeux c'est déjà se régaler. me souviens du marché de Carpentras.
mais Carppentras c'est un des deux plus grands et beaux... là c'est tout petit !
Marcher et marché : jolie et apéritive conjugaison… :-)
n'est ce pas... juste un peu crevée en rentrant mais le déjeuner à effacé
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