sur la fin d’une journée d’air doux et de pluie installée, du moins c’est ce que prévoyait la météo.En fait ce fut second réveil très tardif sur une journée au programme assez plein, lavage de cheveux, des tâches matérielles devenues pressantes, formalités et tentatives pour les #11 et 12 de l’atelier. En fait ce fut ciel en couverture blanche et translucide sur les rues, et après petite panique l’essentiel fait et puis, avant de m’attaquer vraiment aux textes après une introduction trop longue au premier, sortir pour acheter des lunettes-loupe pour remplacer celles de l’antre tombées et qui ne tenaient plus sur mon nez et autres petites courses et sourire de plaisir devant l’adieu bleu et rose sur la rue.
Quelques nuages
dans un ciel qui se brouille
entrant dans la nuit.
La chape de nuit
étend tout doux sur les rues
une idée de paix.
et mon incapacité à reprendre mes textes alors que les deux derniers s’annoncent, trop d’autres choses dans l’actualité me sollicitant. Je devrais abandonner d’autant que je ne lis pas les autres qui je pense ne me lisent pas davantage... bien le font puisque je n’ai jamais ou extrêmement rarement été aussi longue... mais j’en ai désir.
7 commentaires:
Il y a tant de façons de lire "l'autre'....
merci Miche
ON devrait applaudir tous les soirs la nuit quand elle descend si habilement les escaliers… :-)
mas j'ai raremennt la chance de tomber sur lebon moment (et depuis la cour je ne vos,que l'afaiblisselent de lumière sans couleur... alors suis bon public)
Il sont où ces textes ma Brigitte ?
sur un blog privé parce que tous, pour des rasons diverses, ne souhaitent pas rendre public ce qui est pour eux un exercice et pour certains une partie d'un livre en cours, en ma qualité de non-écrivain je les recopie en cas de manque sur Paumée de tems en temps
ai effacé par mégarde n commentaire de Pierre Landré parant du nez de Cléopatre auquel je répondais que je ne voyais pas de nez ici (je manque d'esprit pour déchiffrer son intention pourtant sans doute éiidente
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