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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

vendredi, mars 07, 2025

Après midi voilé et deux autres exposants


Le bleu intense

du matin tout doux tout doux

a pris le voile




Et en rentrant d’une assez brève sortie j’ai repris l’exposition de la MACA ’S avec deux autres exposants en suivant à nouveau l’ordre de l’affiche, avec assez peu de mots et sans doute trop de photos (matière il y avait)




Ce qui m’amène à redescendre au premier étage et à tourner autour du « Tapis de faïence » de Baptiste Chave, peintre et graveur (mais surtout maintenant céramiste) qui vit à Châteaurenard et travaille à Valebrègues… je reprends la présentation du bloc de la MACA’S qui concerne d’abord ses recherches précédentes (retrouvées en cliquant sur Google vers ventes et compte rendus d’expositions) avant d’en venir audit tapis

Baptiste Chave a puisé son inspiration dans les différents courants de la peinture française mais aussi internationale lors de ses séjours en Allemagne, en Grèce et au Mexique.

Grâce à des techniques innovantes, de découpage, de superpositions, de traitement de l’espace et des sujets, il désacralise la peinture traditionnelle pour donner du relief à des objets familiers. Artiste singulier, curieux et passionné d’histoire, d’animaux, de nature.

L’artiste propose un panneau de carreaux de céramique inspirés du bestiaire et des formes géométriques du fabuleux pavement du Palais des Papes d’Avignon.

Présentation de 300 pavés, soit une superficie de 16m2  au sol.




Brigitte, jouissant de la souplesse et de la force du trait et des couleurs, de la richesse d’invention et du « goût de faire » allait de préféré en préféré en tournant autour du « tapis »…



Et puis de temps en temps levait les yeux vers les murs et finalement a suivi sur trois cotés du tapis et un peu dans le couloir les photos de sol de Marise Laget, photographe avignonnaise qui a donné à sa contribution le titre de « A mes pieds », reprenant en le raccourcissant le nom de son site sur lequel elle a posées photos qui se feuillettent.

Pour le texte je reprends celui du blog de la MAC’A

Depuis son enfance Mais Laget photographie, en utilisant une succession d’appareils basiques. Avec l’apparition du numérique elle entreprend de photographier « A mes pieds ».

Se tenant debout, photographiant de sa hauteur n’utilisant aucun support, aucune mise en scène, aucun élément extérieur.

Sec clichés présentent une grande diversité de prise de vue : géographique, météorologique, graphique, thématique. Certains constituent de petites énigmes, d’autres touchent à l’abstraction, tous représentent un monde à ses pieds, à nos pieds.

Notre curiosité est ainsi éveillée, aux abois.

Car les photos de Marise Laget dialofuet avec le Palais des Papes, les rues d’Avignon, le Rhône. Une complicité évidente avec le thème d »Avignon Terre de Culture.

Présentation de 13 photographies numériques au format de 40 x 90 c




A souris avec un brin d’ironie à « Une complicité évidente avec le thème d’Avion Terre de Culture » trouvant cela un tantinet tiré par les cheveux (tout comme je pense que ce n’est pas à nous avignonnais qu’il sied de catégoriser ainsi la ville, espérons seulement qu’il en est ainsi), mais j’ai pensé à elle sur mon chemin… il est vrai que laissant faire le hasard et n’ayant pas longue et soigneuse pratique ce qui ne va pas sans un talent dans le choix et le cadrage le résultat n’est que le fruit du hasard et d’un peu d’attention. 


5 commentaires:

arlette a dit…

A suivre pas à pas ...

Brigetoun a dit…

merci Arlette... les deux derniers devraient être netteent plus brefs

Anonyme a dit…

Joli mariage entre le "tapis" et la terre… ;-)

Brigetoun a dit…

merci

mémoire du silence a dit…

OOOOOOh ! que c'est beau !!!!