Un réveil à rebonds et une véritable entrée dans le jour plus que tardive vers dix heures et demie… pas si tard finalement mais qui a coloré une bonne partie de ma journée (pendant que sous le ciel d’un bleu profond et dans la lumière la température de l’air gagnait peu à peu une tiédeur proche de la moyenne pour cette date) d’affolement, de gestes commencés avec une brusquerie empêchée par l’urgence et abandonnés pour une autre tâche en pensant à tout autre chose…
Reprenant calme et décision (le pensais du moins) en partant en début d’après midi, avec un manteau plus léger et ouvert, yeux sur quelques nuages légers comme des voiles qui passaient lentement dans le ciel, cou se dégageant autant que sa taille le permet de mes épaules, souriant aux deux vélos qui s’étaient séparés d’une de leurs roues, pour acheter une balance en remplacement de celle dont la dalle de verre noir avait explosé le matin, n’aimant pas le contact brusque du pied de lavabo vers lequel mon pied l’avait poussée (ce qui n’a pas arrangé mon retard… le temps de récolter tous les minuscules bouts de verre sans autre dommage)
Ceci dit comme rien ne pouvait être franchement réussi l’emballage cette fois ne contenait pas les piles qui se sont révélées être longues mais ne correspondent à aucune des deux séries que j’ai dans un tiroir (diamètre plus fin que celles qui ont la bonne longueur), en ai mis un exemplaire de chaque dans mon sac pour tenter d’en trouver.
Je cherche le rapport avec « Hina Matsuri » (3 mars au Japon) qui est selon mon agenda, lequel l’illustre par cette estampe de Takeuchi Keishi de 1912, « la fête des poupées », « célébrée depuis l’époque de Helan (794 - 1185). C’est l’occasion d’exposer sur une étagère des poupées précieuses (Hina ningyô) que la famille conserve, représentant des personnages de la cour impériale. Les petites filles mettent un kimono furisode, partagent des gâteaux avec leurs amies et vont au sanctuaire shintô. » Il est vrai que je n’ai pas de poupées.
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