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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juin 03, 2025

2 juin - tentative d’en finir avec fête Rosmerta


Sous ce selfie pris à la Scierie - narcissique suis - vais tenter sans grand espoir de poser, en belle pagaille sans aucun doute, tout ce que voudrais encore y mettre, avec l’évocation (même si j’ai loupé et perdu des photos, comme de bien entendu) des êtres passablement merveilleux que j’y ai retrouvé, en essayant d’y joindre une partie des verbatims correspondants - essayons… sans celles qui m’importent le plus Chantal la propriétaire et directrice de l’Isle 80 ni Roberte Cressier qui devrait être mon modèle, sans Maëva la fille de Chantal ni bien entendu sa fille même si je suis certaine de les avoir photographiées



et toutes et tous en valent certainement la peine



avec, parmi eux, pour ma jubilation grande, mon premier petit-fils (il en avait décidé ainsi) auquel vont mes voeux inquiets… rayonnant, comique, etc…



Parlerais, recopiant autrui, du programme de ce jour, de BlackMix : « BlackMix, c’est un pont jeté entre le Blues Mandingue et l’électro, pour unir les aspects d’une transe qui dépasse les frontières. Dans leur musique, manifeste de leurs identités multiples, tama et carignans se mêlent aux synthétiseurs, tandis que gonis et koras tourbillonnent parmi les cuivres.

BlackMix, c'est aussi la jubilation du verbe, le groupe s’attaque en rythme aux maux de notre monde. Dans des textes en bambara, en français, en anglais et en portugais, si le groupe célèbre le partage et l’amour de la vie, il dénonce également la guerre et les inégalités, le sort des migrants et la pauvreté, le poids des traditions et l’obscurantisme.



Parlerais, en même façon, (avec image mienne) du  groupe polyphonique ARTECA : « Du napolitain 'Arteteca' : impossibilité de rester immobile

Arteteca, chœur de 20 femmes, aborde un répertoire polyphonique traditionnel et contemporain provenant de différents pays du monde. Autant d’histoires à raconter au travers d’un groupe qui bouge et vibre, interprétant avec passion des histoires d’ailleurs qui nous sont finalement bien proches.


et de Boucles d'Aurel, pour un solo de reprises pop-folk... … mais ne parlerais pas du DJ SET des habitants parce que j’étais partie




Je m’en vais juste ajouter l’image de mon succulent et incommode, savais pas par quel bout le prendre, burger végétarien que j’ai accompagné d’une citronnade au gingembre et celles prises, contre la promesse que m’étais faite, sur le chemin de mon retour 

4 commentaires:

Dominique Hasselmann a dit…

Un ciel tout à fait musical… :-)

Brigetoun a dit…

si vous le dîtes ! merci Dominique

mémoire du silence a dit…

un grand coeur se déploie en cette note... merci à lui, à vous...

Brigetoun a dit…

et une raison en ballade (rire)