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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, août 05, 2025

4 août 2025

 


Un 4 août où il ne fit pas question d’abolition des privilèges, quoique au fond un peu : ai renoncé au privilège de ma totale paresse hors connexion qui ne fut jamais totale, ai dû renoncer au privilège de régler en une seule journée les deux problèmes pendant qui me compliquent la vie, renonçant ainsi au privilège du mañana, mais n’ai pu profiter du privilège un moment espéré de combiner le rendez vous plombier, prévu entre midi et quatorze heures pour un évier bouché (dans lequel goutte exagérément le robinet mais à cela ne pouvons rien… il faudrait que le propriétaire remplace tout le plan de travail) compliqué d’un intrigant et persistant refoulement malgré les précautions prises depuis trois ans en me lavant les cheveux dans une cuvette vidée dans une canalisation autre et la visite au toubib parce que les trois dernières fois que nous nous sommes vus ses inquiétudes pour la solidité de mes os, la prescription puis les rendez-vous pour juger des suites nous ont fait oublier totalement l’ordonnance et que je ne peux plus compter indéfiniment sur les pharmaciens pour se passer de prescriptions… Voilà savez tout sauf que à quatorze heures le plombier (j’avais passé ma matinée à vider le placard sous l’évier (je reste ce soir  dans cet encombrement) et fait deux heures de repassage avant de déclarer forfait, crevée) n’était toujours pas là et je craignais de devoir annuler toubib ce qui était impossible (en appelant son secrétariat pour savoir s’il était rentré de vacances j’avais appris qu’il n’était pas parti en juillet mais partait demain)… et de ce jour me suis accordé le droit de sortir sans limiter sévèrement mon appareil aux fleurs.. sans en abuser n’est-il pas ? (le résultat est en tête de cette tartine)

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