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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, septembre 02, 2025

La pluie a salué l’arrivée de septembre

 


Elle ne fut pas tout à fait continuelle et je n’ai eu droit qu’à quelques gouttes pendant ma sortie, mais les averses se sont succédées… je compte que demain sera de plus riante humeur | sans quoi ne sais comment vais faire, on verra bien | en attendant, je suis partie ce matin vers Carrefour d’abord pour du pain, de la morue, des yaourts, un cookie, de la morue, des paquets de crevettes, des oeufs et deux petits bouts de cabillaud et je suis revenue vers la place de l’horloge en m’arrêtant à la Fnac et me hissant jusqu’au premier étage avec mon sac pas aussi bien équilibré que l’aurais voulu pour acheter quatre Larousse « de poche » (tout est relatif et il faudrait une sacrée poche pour un seul) et quatre petits Bécherel « conjugaison » parce que la Commission scolarité de Rosmerta rentrant de vacances a fait l’inventaire de ce qui avait été déposé depuis l’appel début août (j’avais charrié dans le sac rose acheté à cette fin quatre sacs à dos et quatre calculatrices) et un mail reçu samedi soir faisait une liste de ce qui manque c’est à dire dictionnaires de poche et « conjugaisons » et comme la liste comportait aussi des sacs à dos j’ai acheté un sac pour y enfouir ces pas si petits livres… ai ramené le tout, l’ai posé en bas de l’escalier pour rire en me disant que les conseils de la radio de ne pas ou oublier son parapluie était difficilement applicable dans mon cas (j’avais endossé mon vieil imperméable) avant de hisser le tout en deux trajets.Elle ne fut pas tout à fait continuelle et je n’ai eu droit qu’à quelques gouttes pendant ma sortie, mais les averses se sont succédées… je compte que demain sera de plus riante humeur | sans quoi ne sais comment vais faire, on verra bien | en attendant, je suis partie ce matin vers Carrefour d’abord pour du pain, de la morue, des yaourts, un cookie, de la morue, des paquets de crevettes, des oeufs et deux petits bouts de cabillaud et je suis revenue vers la place de l’horloge en m’arrêtant à la Fnac et me hissant jusqu’au premier étage avec mon sac pas aussi bien équilibré que l’aurais voulu pour acheter quatre Larousse « de poche » (tout est relatif et il faudrait une sacrée poche pour un seul) et quatre petits Bécherel « conjugaison » parce que la Commission scolarité de Rosmerta rentrant de vacances a fait l’inventaire de ce qui avait été déposé depuis l’appel début août (j’avais charrié dans le sac rose acheté à cette fin quatre sacs à dos et quatre calculatrices) et un mail reçu samedi soir faisait une liste de ce qui manque c’est à dire dictionnaires de poche et « conjugaisons » et comme la liste comportait aussi des sacs à dos j’ai acheté un sac pour y enfouir ces pas si petits livres… ai ramené le tout, l’ai posé en bas de l’escalier pour rire en me disant que les conseils de la radio de ne pas ou oublier son parapluie était difficilement applicable dans mon cas (j’avais endossé mon vieil imperméable) avant de hisser le tout en deux trajets.



Pendant que je déjeunais en pensant à la liste de spectacles à dresser avant mon passage demain matin à l’Opéra, me prêchant modération parce que mon aisance relative n’est pas si gigantesque, qu’en avril il y aura les billets pour le Festival à financer et que j’ai tendance à oublier un peu ma décision de relire sans ajouter de nouveaux livres (je crois que vais me borner à un, parce qu’il est si évident que ne saurais le manquer…) la sonnette m’a fait sursauter, et j’ai vu grimper vers moi un paquet contenant mon exemplaire des Vagues (parce que oui j’ai eu « la faiblesse » en fait la gratitude et le plaisir d’accepter (rire) que Christine Jeanney m’en adresse un exemplaire… régal encore plus grand parce qu’il est si beau (je suis navrée de ne pas être capable de photographier correctement le travail de couture apparent au dos)



Et il m’a fallu quatre heures pour sélectionner, sabrer dans la sélection obtenue (un peu aidée par les rendez-vous avec faux petit fils les derniers samedis du mois, par des propositions du théâtre des Halles, des horaires le dimanche incompatibles avec le rite lavage des cheveux)… J’ai renoncé aux moins fortes tentations, et je reprends ici sans autre précision, une liste des titres (y compris les spectacles des Halles) : lettres à un poète disparu, un café à Napoli, Don Giovani, Amore Siciliano, Bataglia, amours aveugles, attraper l’ange, l’Orfeo, rapprochement des peuples, Avishar Cohen, Liliana Butter Not, Prométhée, l’art d’avoir toujours raison, Thelma Louise et nous, les meutes, Carcaça, la personne, la chambre d’échos, Decameron, le clown comme un poème, par quoi je me sauve, le chant de la terre, Zola… pas comme Emile, les fantômes d’Hamlet, les trois anges, la tête loin des épaules, America, mon Beethoven et moi, les mythes, canto al sole, K/C, Chiaroscuro, Awen et Fraternité - s’y ajoutent quatre spectacles de musique baroque. 

PS j’ai cru voir le ciel me faire un clin d’oeil bleu avant de s’endormir pour que je lui fasse confiance avant le programme de la matinée de demain : Opéra, avenue de la Trillade et retour.

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