Le bleu revenu en force dans le ciel,
mes forces restaient douteuses avec température variable toujours un peu trop haute, poids sans changement mais une petite joie m’habitait
j’ai changé de draps pour préparer, je l’espère et le crains, le petit dépôt en échange des huit paires que j’attends demain
et m’en suis allée vers Monoprix parce qu’en début de nuit l’ampoule de la lampe éclairant ma table est morte et que n’avais eu de solution que de la remplacer par celle plantée sur une tige près de l’entrée, ce qui était insuffisant et un nouveau drap housse parce que j’avais utilisé le dernier le matin (j’ai encore une dizaine de drap de dessus, certains étant hérités de ma mère)
je suis revenue de cette petite sortie assez tard et sans le Canard que zut j’avais oublié.
Un déjeuner dont une partie s’est retrouvée au fond de la poubelle (je sais je dois manger mais je peine) une sieste, un peu d’internet et au moment de partir vers la réunion de bénévoles de Rosmerta où je suis inutile, mais pour le plaisir de les voir et sous prétexte de marcher, je me suis rendu compte que j’avais laissé le temps filer, qu’il était un peu trop tard et que mieux valait en rester à une marche le long du fleuve, marche qui fut sans doute un peu trop courte : mes jambes et l’appareil photo en avaient assez (j’ai obéi en partie à l’appareil en supprimant quelques images, trop peu sans doute).
4 commentaires:
"(...)
Tu fais germer des bourgs, croître des capitales :
Voici Lyon, Valence et la brune Avignon,
Dont les filles gaîment, sur tes rives natales,
Peuvent mêler le pampre aux nœuds de leur chignon.
(...)"
à lire ICI en son entier ... :-)
Ce pont coupé ne devrait jamais être réparé. :-)
il ne le sera certainement pas... on se contente de jouer avec une maquette
doublement merci Maria... quoique : pourquoi la brune (bon fut un temps où elle était crasseuse)
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