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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, novembre 15, 2025

Centre des finances et attraper l’ange

 


Matin, m’en suis allée dans le gris frais par la rue de la République, le Cours Saint Joseph vers l’avenue du 7ème Génie et le Centre des Finances publiques… où j’ai fait une queue bien moins longue que prévue mais où n’ai pu obtenir immédiatement une copie de mon dernier avis d’impôt qui me sera envoyé en début de semaine prochaine… en sortant, revenant par la rue de la République me suis offert un pantalon de velours côtelé vert sombre et un chandail beige au rayon enfant de Monoprix ainsi qu’une quiche au saumon et épinard pour accompagner les tortis au fromage du déjeuner.


Déjeuner appliqué (frôle les 35 kilos), sieste, trop peu de repassage, paresse, un peu d’internet, thé



et départ en début de nuit pour, après avoir jeté cinq billets de spectacles pour cause d’absence hôpital, Grignan, Montbrun, m’en aller en début de nuit vers le Théâtre des Halles avec dans mon sac un billet pour « Attraper l’ange » un spectacle de (et joué par) Geneviève de Kermabon (avec en voix off Denis Lavant)



Spectacle présenté ainsi sur le site du théâtre (comme la photo - je crois sans certitude qu’elle est de Cyril Casméze pour le producteur Proxima Scena)

« Les parents d’Alice sont de grands artistes qu’elle admire infiniment. Elle tente de suivre leur voie mais elle n’a pas le don, pas la flamme, pas la force….

À partir des interviews d’une trentaine d’artistes parmi lesquels Ariane Ascaride, Charles Berling, Catherine Frot, Denis Lavant…, Geneviève de Kermabon imagine l’histoire d’Alice et nous plonge dans l’intimité de ces artistes. Elle retrace leurs histoires, savoureuses ou terrifiantes, qu’ils soient sujets aux « affres » avant ou pendant leurs prestations, ou aux « états de grâce » par lesquels ils sont parfois traversés. Un seul en scène émouvant sur le sentiment d’être ou de ne pas être à sa place. »



Sa place elle la trouve par l’énergie, l’humour, une touche de laideur étrange du décor et des masques et le plaisir de la majorité du public.


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