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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération
mercredi, avril 26, 2006
juste pour le plaisir, une place que j'aime, le plan de Lumel, avec au fond l'Hotel de Gramont-Caderousse où passèrent des célébrités dont le prétendant Charles Edouard Stuart. Un jour la grande porte entre les petits lions était ouverte, envie d'entrer. Et à gauche l'Hotel des Laurens avec son vestibule en voutes d'arrête et le charmant couple d'antiquaires
J'ai lu, lundi soir, des nouvelles de Naguib Mahfouz et me suis heurtée toute la journée au nouvel attentat en Egypte. Pitié pour les gens. Calme, détente ou travail et brusque horreur. J'ai repris "Le Jour de l'assassinat du Leader" Le grand père, dans son monologue intérieur, se récite le Coran "En vérité, la création des cieux et de la terre, l'alternance de la nuit et du jour, le bateau qui va sur la mer pour le profit des hommes, l'eau que Dieu fait descendre du ciel pour rendre la vie à la terre morte, les bêtes qui la peuplent, les vents qui changent...autant de signes pour ceux qui savent réfléchir". et le petit fils englué dans la médiocrité de ses ressources "Les magasins de meubles, les boutiques regorgent de monde ..Une autre radio, quelque part, déverse à grand bruit un discours dont les mensonges volent dans l'air avec la poussière. Fatigué.. fatigué.. Les trafiquants, les maquereaux; les chiites, les sunnites.." et il se souvient d'une phrase de son grand père "une longue série de défaites a déposé au plus profond de nous une tonalité de tristesse, nous aimons les chansons pathétiques, le drame au théâtre, le héros victime"
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13 commentaires:
ah combien j'aime lire(une fois de plus) votre référence littéraire du jour.
Qu'elle soit en Egypte ou ailleurs, cette horreur qu'est l'attentat ne peut que révolter profondément et chacun de mes mots serait banal à ce sujet. Je suis tout simplement triste.
Je suis d'accord avec Mariel, tu arrives à marier le calme avec la tempête et ça c chouette.
Les photos sont superbes.
Pour le reste, Mariel a exprimé ma pensée...
vous manquez à la blogosphère Brig et à moi plus particulièrement... J'espère simplement que vous allez aussi bien que possible. Ce commentaire n'est évidemment pas prévu pour paraître, mais je n'ai que ce moyen pour vous dire que je pense à vous.
A très bientôt j'espère
La mort engendrée par cet horrible attentat,
Mais la vie dans les couleurs lumineuses de ce tableau ;-)
désolé de squatter cette page pour un sujet aussi banal, mais on a gagné des rillettes!
belle coin et photo et je suis aussi fatiguée aujourd'hui, mais il ne faut désespérer - meme quand, comme toujours hélas, des gens font des méchantes choses, de bétise et de crueuté
Je m'isole de l'actualité, par lâcheté, vous savez la restituer entre le paisible et le réfléchi, c'est comme cela qu'elle devrait être présentée, car il n'y a pas que l'horreur, elle ne doit pas submerger le reste, le beau, merci Brigetoun.
Toc ! Toc !
Où êtes-vous ?
un bonjour en passant... tu es partie en vadrouille ? bises !
Il y a très longtemps j'avais lu un des tomes d'une de ses trilogies. (J'ai oublié le titre, désolée). Malgré le dénuement matériel des personnages, le milieu des chiffonniers cairotes, il y peignait une société foisonnante de vie et d'une très grande richesse humaine...
Yesssssss ! suis bien contente de vous savoir revenue... bon c'est pas marrant un ordi en panne, mais ça aurait pu être pire, et parfois ça m'arrive de penser au pire même si c'est pas vraiment dans ma nature... ça dépend des jours.
bonsoir et merci de ta visite. Ton texte, qui est loin d'être superficiel, devrait faire réfléchir les consommateurs de tout ce qui brille. j'aime bien ceux qui pensent.
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