
J'ai salué le souvenir des élèves des jésuites, et suis partie. Et voilà à peu près tout.

Ni sur les nombreux élèves (dont Voltaire et des amis d'enfance) passés par les bons pères. Pas plus que sur Dionysos ou Ariane, ou les oliviers.

Mais vaincue par eux, j'ai, après un petit tour sur les blogs, finalement cherché un olivier chez Pline. Je n'en ai pas trouvé, mais un joli cadre de retraite :

Caninius Rufus était plus grandement logé que moi.

6 commentaires:
C'est bien ce que j'ai écrit dans le post précédent sans avoir lu ton deuxième billet. Là maintenant je suis convaincue que tu n'a pas été convaincue toi même par cette expo ! Ouf je commence à bien décodé !
légers problèmes de connexion ces jours ci
...plus grandement logé, certainement, mais en hiver, beaucoup moins bien chauffé je pense...
problème de conexion? sans doute mon comment n'est pas arrivé , il a eu peur des vieilles pierres ?
bon dimanche.
Alors, comme ça, tu t'occupes même sous la douche ? Et en plus, tu te fais mal ? Je me demande dans quel état s'en sont tirés tes documents...
non la douche pusieurs heures avant, et j'ai toujours une belle marque sur le tibia
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