Et je n'ai pu entendre ce que la conservatrice expliquait dans la petite sacristie paléochrétienne, mais j'ai admiré sa passion et son très joli sourire. Elle jubilait visiblement devant ses reliefs et colonnes.
J'ai salué le souvenir des élèves des jésuites, et suis partie. Et voilà à peu près tout.
Aucune envie de me pencher sur Rome, la Provincia, ou le baroque assagi.
Ni sur les nombreux élèves (dont Voltaire et des amis d'enfance) passés par les bons pères. Pas plus que sur Dionysos ou Ariane, ou les oliviers.
Assise, j'ai massé le superbe hématome que je me suis fait dans la douche, en écoutant un vieil enregistrement des Noces de Figaro et en attaquant la lecture des comptes rendus des débats à l'assemblée.
Mais vaincue par eux, j'ai, après un petit tour sur les blogs, finalement cherché un olivier chez Pline. Je n'en ai pas trouvé, mais un joli cadre de retraite :
Et cette colonnade toujours aussi printanière ? Et cette allée de platanes à l'ombre profonde ? Que devient ce canal aux vertes eaux claires ? Et, prêt à recevoir ses eaux, le lac en contrebas ? Et la promenade au sol moelleux et pourtant ferme ? Que devient cette salle de bains que le grand soleil inonde et entourre ? Et la salle à manger d'apparat et celles des intimes
Caninius Rufus était plus grandement logé que moi.
6 commentaires:
C'est bien ce que j'ai écrit dans le post précédent sans avoir lu ton deuxième billet. Là maintenant je suis convaincue que tu n'a pas été convaincue toi même par cette expo ! Ouf je commence à bien décodé !
légers problèmes de connexion ces jours ci
...plus grandement logé, certainement, mais en hiver, beaucoup moins bien chauffé je pense...
problème de conexion? sans doute mon comment n'est pas arrivé , il a eu peur des vieilles pierres ?
bon dimanche.
Alors, comme ça, tu t'occupes même sous la douche ? Et en plus, tu te fais mal ? Je me demande dans quel état s'en sont tirés tes documents...
non la douche pusieurs heures avant, et j'ai toujours une belle marque sur le tibia
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