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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

samedi, février 17, 2007

le midi
Pendant que Muse, à Marseille, allait voir Electre, moins réservée, Avignon en était à Lysistrata. Une Lysistrata un rien modernisée, légèrement dépaysée, pas très loin, quelque part dans les Balkans. Montée par Raymond Vinciguerra.
Plutôt réussie, truculente, assez goûteuse et puis j'aime cette pièce. J'aimerais que toutes les femmes ou de nombreuses soient femmes ainsi. Et que la guerre soit bannie, non seulement parce qu'ignoblement cruelle, insoutenable, mais parce que profondément ridicule.
Mais si on dit aux hommes : "Si c'est là ce qui t'offusque, tiens, prends ce voile, mets-le sur ta tête et gardes le silence" il faut que la parole qui vient ensuite soit intelligente.

Dans la journée de vendredi, auparavant, sur la toile, un peu de rêve avec les photos de vitrines de luthiers chez François Bon (http://tierslivre.net/) et des vidéos, datant de 2004, au moment de l'appel des anciens du Conseil National de la Résistance sur http://www.alternatives-images.net/actualites.php3 (par l'intermédiaire des marques) salutaires au moment où les soit-disant héritiers de celui qui appliqua la plupart du programme du CNR se parent d'atours sociaux.
les images viennent du petit journal du Théâtre du Chêne noir et de son site.

1 commentaire:

Muse a dit…

Mmmm sortie croisée si j'en crois ce que je lis; ton plaisir égale le mien...Et mon Electre aussi, une sacrée femme.Birkin se charge de lui donner un poids formidable.Bonne soirée Brig, moi j'en suis encore à la digérer!