Je ne me répandrai plus, comme ce rosier, à l’extérieur de mes petites frontières.
Désolée. Je n’irais pas jusqu’à me priver de lire, vous n’avez qu’à ne pas publier - mais je cesserai d’appliquer les règles de politesse que les femmes de ma famille "petite bourgeoise" m’ont inculquées (genre on s’essuie les pieds et on salue).
Et si vraiment une envie de réagir me prend, je me souviendrai que le billet que je lis existait avant et existera après mon passage
(Exception pour les impromptus et paroles plurielles, parce que, là, c’est la règle du jeu – ou autorisation formelle)
« Il importe de savoir ce que l’on peut attendre d’un ami, si son regard complice est capable de vous renvoyer une image plausible de ce que vous êtes au moment où vous n’y pensez pas. J’aime l’effet de surprise du passant qui s’aperçoit tout à coup dans une glace, à la devanture d’un magasin. Scène révélatrice à l’occasion de laquelle on peut trouver à méditer quand le commun des cons ne songe qu’à rectifier sa coiffure… » Georges Picard - « de la connerie ».
Vous avez toute mon amitié.