Au cœur des jours, dépouillement, nudité, presqu’aridité. S’attacher à l’harmonie, aux proportions des formes - s’efforcer avec faibles moyens d’atteindre la rigueur de pensée – échouer, ne pas se le pardonner.Ou lâchement accepter sa faiblesse, et cheminer sans ambition mais sans complaisance, chercher la qualité chez les autres, et, puisqu’il est là, jouir de la beauté du monde sous le bleu.
13 commentaires:
c'est vrai qu'il est beau le monde sous le bleu...
en jouir, comme en chaque instant de la vie
Toujours ce grincement de porte entre deux
la fuite en avant où l'on se perd
ou le repli vers le ciel bleu
Je me suis perdue dans les zônes de transit des aéroports...faute de savoir tout ce qui manque à ma culture..mais j'en ai respiré l'air.
Le ciel bleu : un transit pour petit apaisement provisoire..
je n'arrive pas à choisir même si je sais bien qu'il est bien tard pour moi
mais merci de combattre encore.
Regret de ce monde sous le bleu des jours derniers vers chez toi, ici c'est le monde sous le gris...bien triste. Bon dimanche !
Tu es très philosophe
nous sommes déjà lundi et je me mets à lire ce que j'ai à lire, je m'en voudrais d'en louper un seul des billets manqués hé hé ! bon début de semaine Brig !
"S’attacher à l’harmonie, aux proportions des formes"... Voire disproportion si l'on en juge par cette chapelle (une des sept chapelles intramuros d'Avignon dont j'ai oublié le nom).
Et oui, vive les beaux jours sous un ciel bleu.
Tes photos sont magnifiques, merci de nous les partager.
Bon lundi et bisous de ta p'tite cousine du Québec.
la disproportion n'est qu'apparente et vient de la maison qui une fois de plus rentre dans l'église ou prend appui sur elle.Ce n'est pas une chapelle latérale de Saint Didier ? ou le transept
Avec un si beau ciel, tu devrais vite être en forme !
Beau lundi !
Bises,
OLIVIER
Comme un vide aujourd'hui, un manque,
me voici de retour,malgré un beau ciel bleule froid pinçait ces derniers jours!Pas eu le temps de monter sur l'Aubrac mais ramené de la tomz à aligot
curieusement la première photo (va savoir pourquoi) me ramène à Assise, à l'église sur la grande place qui a épousé les vestiges d'un temple grec, hier je n'avais qu'une envie prendre la voiture et y aller, revoir sous un ciel aussi bleu que le tien les fresques de Giotto...entendre les oiseaux de François
un petit peu de bleu ce matin ici, mais le soleil avec les dents, il a gele cette nuit,
merci pour la photo pres du lit et nous approcher encore plus de toi,
se pardonner c'est important, a partir de la on peut aller avec plus des forcer plus loin, je crois
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