
Avec également les rois puisqu’il semble se vouloir tel. Pourrait-on l’éclairer sur les démêlés de Louis XIV et de Rome ? il n’y a pas que le toucher des écrouelles… à propos à quand cette cérémonie ?
« de la langue j’ai tout retenu, les cadences trillées les harmoniques, si ternes, si lointaines aujourd’hui, mais courant encore, ici, dans la frise aux oiseaux sur le plancher battu par les vents de l’île, au mur de la chambre d’écho, ou depuis longtemps je couche avec la tristesse, et tous les soirs entre deux étreintes elle et moi faisons le compte de ce qui est mort, et parfois l’indicible nous vient, et c’est alors un bonheur grand et amer…. » Abadôn – Michèle Dujardin.
Inévitablement, une petite illumination, même dérisoire, me remettra en marche, mais je ne saurais trouver l’entrain d’aller imposer ma présence à ceux qui avec une générosité délicate se sont offerts à m’accueillir. Me contenter de les aimer d’ici, comme je crois, je sais, qu’ils le font.
Au cœur de mon égoïsme, sans goût, sans appétit. Période que j’ai détestée depuis mes dix-onze ans, je pense.
Inévitablement, une petite illumination, même dérisoire, me remettra en marche, mais je ne saurais trouver l’entrain d’aller imposer ma présence à ceux qui avec une générosité délicate se sont offerts à m’accueillir. Me contenter de les aimer d’ici, comme je crois, je sais, qu’ils le font.
Au cœur de mon égoïsme, sans goût, sans appétit. Période que j’ai détestée depuis mes dix-onze ans, je pense.
9 commentaires:
Une crèche (et qui sait ? peut-être un homard ?) te tiendra compagnie puisque tu ne peux te décider d'aller rejoindre ceux qui voulaient t'accueillir...tu n'aimes pas cette fête (moi non plus) mais tu aimes bien les santons, alors fais-toi ce plaisir. Bonne journée.
J'en ai fait suffisemment durant des années de jeunesse, des crèches. Elles ne m'intéressent plus du tout. Je leur trouve de la vanité, de la suffisance, une bonne conscience somnifère qui me dégoûte un peu. Dommage, car c'est un bon support des traditions provençales.
Et les musulmans, il fêtent la naissance du prophète, eux ?
les personnages centraux tendent être hautement annexes dansmon goût des crêches - c'est le plaisir des santons et de la ritération, une pierre dans le calendrier
bonne route vers Noël Brig !
bonne route et fêtes!
personnellement, j'ai toujours adoré cette periode, les souvenirs des noels de l'enfance et celle de mes enfants, a resté en moi, même quand je la passe toute seule
La laïcité ? Il va falloir la réinventer!
Foulée aux pieds du Pape, en personne, par "notre" représentant: la France n'a jamais fait aussi fort! Cela donne des démangeaisons. N'est-ce pas du racisme caché?
racisme ? Je ne sais pas. A quelle race appartiens-je (horrible mot) moi qui me sens étrangère à la France de Sarkozy ?
"Faut-il être empreint d'une force intérieure puissante, elle-même mue par le soucis de s'opposer aux privilèges d'une autre force intérieure sans limites inspirées par la foi ! Assez des grignotages insidieux d'une église dont l'Etat devra perpétuellement se protéger" (Danielle Mitterrand, in "Le livre de la mémoire) Cett force intérieure, morale, Nicolas Sarkozy ne l'a pas. C'est tout. Il a plus le goût de la violence et du sang.
Oui, une crêche, pour donner un peu de compagnie à ce si charmant trio !
On a beaucoup parlé de la présence du président de la République à la parade Disney. On raconte qu'une certaine Carla Bruni s'y était rendue avec l'espoir de connaître la chance de la Blanche-Neige et d'y dénicher son Prince charmant. Hélas, elle semble être repartie avec un nain ; et doublement frustrée car elle sait bien que, pour le même prix, Blanche-Neige en avait sept.
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