notre magnifique gare et nos somptueux TGV qui, avec un remarquable retard m'ont valu trois heures et demie d'attente à Maine 2, lieu hautement rébarbatif

errance à l'heure du petit déjeuner en évitant les vues trop précises et la population

préparation(quelques bouquets)pour l'église - une des trois photos bouffées par blogger est revenue en tête - j'en ai perdu deux autres

après le déjeuner sous un pin, errance en attendant ce moment toujours un peu étrange où les porteurs de jeans émergent brusquement en gentilhommes et gentes dames (à part trois grands chapeaux de pailles très fines, et moi la campagnarde améliorée, le choix était du genre aile ou neud léger au dessus d'une tempe

le coin des légendes au fond du pré

et retour par le chemin balisé

longue et belle cérémonie et sortie joyeuse et périlleuse le porche ouvrant sur un talus

pour le cocktail nous avons eu la chance d'un ciel bleu se couvrant lentement, mais les belles dames, les beaux messieurs, les enfants, les tables du traiteur, les ouvreurs d'huitres étant tabous, restent la dame des crèpes et les évadés.

le ciel a perdu de sa grace mais a attendu pour se déverser le diner sous la tente (malheur aux serveurs)

le lendemain pour le lunch des rescapés, les départs des voitures chargées d'enfants et le diner en petit comité, un ciel radieux -

et lundi de voiture en trois trains (le dernier eu à deux minutes près) un tout long retour - et plus de deux heures pour le tri de 200 photos, en jeter parce que vraiment inadmissibles, en faire des lots pour les intéressés.

maintenant billets festival, mai j'ai très sommeil