quand je fuis désespérément la tentation d'une sieste immensément étirée, et que j'ai rêvé en lisant "marché aux chevaux", mais ils n'étaient plus là - n'avaient laissé que deux tendres petits - quand les beignets, les barbes à papa et les écharpes semblent être les seuls achats et que les vendeurs plaisantent pour arrêter le client, s'occuper, se réchauffer
quand la ville s'offre une pause dans la descente humide et froide vers le creux de l'année, et que je regagne mon îlot pour n'être capable que de sentir le temps couler
et puis, dans la nuit descendue, une plongée en exploration dans les explorations de "la main du singe" http://lamaindesinge.blogspot.com/ et dans les quelques interventions du maître des lieux, 
7 commentaires:
Encore un long mois pour atteindre le creux de l'année et voir le jour s'allonger.
Saurons-nous rebondir?
J'aime tes mosaïques qui nous montrent des petits coins de ta ville. En particulier, les platanes élagués qui étirent leurs branches vers le ciel comme de grandes mains décharnés ou dans le coin à gauche de la dernière, une collection de derrières, comme dirait Serge Lama.
"....pour n'être capable que de sentir le temps couler...."
Etre capable de sentir le temps couler ...c'est déjà une grande réussite !
Qui en est régulièrement capable ?
Il faut souvent des années et des années de pratique de yoga .
"paumé" c'est moi, je suis out...
Tout comme Tanette, j'aime tes mosaïques !
Au plaisir !!
alors tu n'as pas vu les chevaux??
restaient surtout les fringues?
les traditions foutent le camp!!
amen!
temps de l'année que je déteste le plus...deux longs mois à tirer désespérément.La nuit et le froid ne me vont pas du tout.
Je suis allé voir ton lien, j'allais dire ton singe...ouf ! faut une carte de membre ? ...je blague !
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