Chutes abruptes, embrassements incertains, passages ininterrompus :une humanité défile dans le doute de ses origines et l’assurance de sa fin.
Le spectacle mélange les situations en tournant autour du thème de la vanité et de l’éternel retour et sur le mode de l’humour et d’une certaine mise à distance. ....."dit le programme (pour l'humour, disons qu'il est très distant)
Comme transition, une dame en robe très habillée noire, isolée par une lumière dorée sur des rideaux noirs, respiration forte et récitatif murmuré.
La deuxième partie "ad mortem festinatus - nous nous hâtons vers le mort" complexe, allant des corps en peignoirs, chutant, s'ensauvageant, s'aidant, en traversées, répétées, et encore répétées, de la scène, aux corps nus semblant flotter avec des gestes parfois hagards derrière un transparent et dans une lumière aquatique, assez admirable, m'a parue un peu longue, et du coup j'ai apprécié que la troisième partie, après une nouvelle intervention, très opératique, de la dame en noir, "sous la nuit seule" tenues de cocktail dans lumière rouge soit excessivement brève.
6 commentaires:
il pousse aussi des fleurs dans le désert tant qu'on peut y accéder
Oui, de superbement jolies fleurs !
Un mur sublime
d'un maçon poète défiant l'équerre
Et la chance te sourit
un lézard aperçu
qui se laisse saisir.
Cerise sur le gâteau d'une si grande journée.
Quelle activité ! Et quelle mémoire.
Ma chère Brig,
toujours aussi active et friande de cultures !!
Heureux de te retrouver ! toujours de chouettes photos !
Beau dimanche !
Merci pour tout !
Olivier
Envie de m'attarder sur l'étoile de l'espérance, je sais c'est vague, tellement à faire.
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