les hésitations du ciel se sont résolues, en début d'après midi, vendredi, par des grumeaux d'un blanc grisâtre - comme de raison, carcasse s'est mise à l'unisson. Je l'ai tout de même emmenée, à coté, voir à quoi ressemblait le jardin médiéval, installé sur la place, comme une entrée ou un accompagnement à l'exposition "alta-rosa".Nécessite un peu d'imagination, pour que la dalle soit chemins de terre séparant de petits parterres, au même niveau, bien sûr, au même niveau, et plus ordonnés chacun, du moins je crois. Mais en marchant entre eux, sans avoir à se pencher, je baignais dans un extraordinaire monde de parfums, à en fermer les yeux, s'il n'y avait eu risque de collisions.
J'ai salué avec respect la file de gens qui allaient, à force de patience, admirer dans le cloître de Benoît XII de très beaux et assez rares rosiers, mariés cette année à des clématites, et sans hésitation ai passé mon chemin - gentes dames et beaux messieurs dégustaient au coin de la place je ne sais quoi, que j'ai supposé avoir un rapport plus ou moins évident avec le jardin -
3 commentaires:
Capitale (autoproclamée ?) mondiale (minimum minimorum) de la marionnette, Charleville (préfecture des Ardennes) vous salue !
Reste que l'horloge publique et géante des marionnettes y rappelle les mécanismes ingénieux d'un baroque harmonieux.
(Beau dommage de ne pouvoir en joindre une photo à ce commentaire).
Il est très beau ton bouquet de roses ! Et les deux petits bustes ont l'air pas mal non plus...
J'aurais bien aimé savoir ce qui se dégustait sur la place du palais ce jour-là !
Pourquoi avoir effacé les photos ?
Merci merci, merci de ce beau billet, en texte, et en sublimes photos...
Enregistrer un commentaire