Samedi, pour entrer dans la journée
y revenir encore, trois ou quatre fois, pour éliminer, unifier, oublier, après chute d'un plat et de son huile
s'endormir, croire que je m'active
regarder, penser qu'il faudrait...
essayer de ne pas s'habituer à la vue du repassage projeté, ne pas pouvoir lire, se parler (comme toujours, mais moins seule que souvent puisqu'il y a la radio à laquelle répondre) – passionnant n'est-il pas ?
9 commentaires:
mais si il faut bien s'habituer!!tant qu'il reste quelque chose à laquelle on ne d'habitue pas encore..le renoncement à vivre.
cuivre ? par ici, on parle de "dinanderie"...
taches de rousseur dans une cuisine
et souvenirs de confitures au temps où les multinationales ne massacraient pas les abeilles
du savon à l'huile de lin sur des restes d'huile d'olive
@ brigetoun
mon commentaire accompagne (enfin, tente...) la 5e photo, le "dinandier" (de Dinant sur Meuse, entre Givet et Namur) étant un batteur de cuivre...
merci, je sais ce qu'est un dinandier, et c'est un des artisanats qui me fascinent - j'en avais un près de chez moi quand j'habitais le Marais
Il y a tant de choses à faire...
Dresser les listes...
Pour toi, j'ai anagrammé "tâches quotidiennes". Les meilleures :
Dicton anesthésique ?
Sois en déchiquetant... (pacem, pacem)
Discothèques en tain.
Ah ! Dito ! Quintessence !
On dicte « asthéniques ».
Destination : Chèques !
Et ainsi de suite.
;-)
Le repassage est déjà une tâche rébarbative mais renverser un plat contenant de l'huile d'olive n'est pas ce qu'il y a de mieux pour bien commencer la journée.....je compatis.
Pour le moment culturel...on repassera, c'est çà ? ...on est dans de beaux draps !! ! !
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