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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

lundi, octobre 18, 2010


Amis, le mur je regardais
et à l'unisson me sentais.
Clôture était, rien n'y pouvait.

Sombre, dressé contre le jour,
attendant lumière du soir,
amis, le mur je regardais.

Par hommes créé comme abri,
vestige de temps tumultueux,
clôture était, rien n'y pouvait.

Ouvert, ses portes béantes,
en désir du soleil sur peau,
clôture était, rien n'y pouvait.

Plantes amies s'y agrippaient,
arbrisseau devant lui dansait.
Amis le mur je regardais,
et à l'unisson me voulais.

7 commentaires:

joye a dit…

J'aime comme les rimes se décident à la fin de se mettre toutes d'accord, elles aussi font l'unanimité.

Lautreje a dit…

tendre harmonie avec le lieu.

micheline a dit…

Dans les rues dansent aussi les feuillages d'automne.

Anonyme a dit…

unissons alors. Joli. Et la dernière photo aussi.

arlette a dit…

Ballade pour un mur ......'
par le Troubadour Brigetoun- d'Avignon

Pierre R. Chantelois a dit…

Clöture et mur se rapprochent d'un certain enfermement qui interdit accès au désir du soleil sur peau.

Gérard Méry a dit…

Cris ou murs murs