Ce serait un gai nuage blanc, éblouissant, juste adouci par de douces ombres, qui galoperait dans la gloire lumineuse d'un début d'après-midi, comme emporté dans une danse joyeuse, laissant s'effilocher derrière lui, se perdre dans le bleu, un semblant de mèches légères.
Ce serait un monde en gris doux, une assemblée de nuages, du charbonneux au gris de souriceau, entourant en un demi-cercle un peu désordonné, sans ostentation - une idée de cour – une gracieuse zone, légèrement courbe, qui s'élèverait en lumière blanche, presque en gloire, une transparence.
Jour vécu un peu à côté ou de côté – je reprends paresseusement deux paragraphes venant de convois http://leconvoidesglossolales.blogspot.com/
12 commentaires:
dommage que la paresse de tout un chacun ne donne pas d'aussi jolis résultats que les tiens !
Oui... je me perdrais volontiers en oisiveté profonde si je pouvais observer ces cieux clairs et nuageux dans la douceur d'une température clémente... mais à moins 26 degrés centigrade, convenons que c'est frisquet.
convenons (ceci dit ce sont des cieux anciens) mais convenons sans peine
première photo : le carré noir ? nouvelle symbolique pour une "étrange lucarne" ?
une lanterne (j'avais pas fait attention)
j'ai pensé à toi,
j'ai rempli mes yeux de ciel.
Je rêve avec tes mots.
L'"assemblée de nuages" : un meeting dégagé de toutes ambiguïtés ?
Le ciel séchait ses cheveux.
et comme suis en retard, vais me laver les miens
Les jours d'à côté sont pleins de promesses en devenir...
Sais-tu que tu es un sacré poète ?
Une inattention qui crie l'intentionnalité !
ce serait tout sauf un triste ciel bleu
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